COMMENT UN GRAND PEINTRE, MARC CHAGALL ME RAMENE AU BERCAIL
L'embouchure de la Leffe, son Eglise qui figure par millions ou plus sur tant de bouteilles de bierre
Première apparition de la Citadelle de Diant qui personnalise si bien, avec la collégiae, cette ville qu'avec fierté je considèure comme un joyau du monde
Au pied du charreau des capucines qui conduit au couvent des Dominicaines où je vécus avec ma famille plusieurs semaines pour échapper à la haine des traîtres rexistes. J'y vis en 1944 les premiers américains. Nous vivions, grâce à la gentillesse de la Mère Abbesse en pleine cloture.
Du couvent des Dominicaines la nouvelle maison de mon Grand Père, ses deux maisons précédentes ayant été incendiées par les Fran çais en 1914 puis les Allemands en 1940
Le jardin des Dominicaines où nous avons tant joué frères et soeurs ainsi que ma cousine Brigitte. Nous n'hésitions pas à dérober aux cochons les déchets de la fabrications des hosties qui, en ce temps de guerre, nous semblaient délectables
Sur le chemin du retour à Dinant ces photos donc cette maisonnette que nous appellions pavillon de chasse dans nos promenades