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ABOMINATION
ABOMINATION
C'est une chanson de, je crois, Pierre Perret.
Il y parle entre autres de la gestapo; il faut bien sûr ajouter la Shoah, la torture, la mort de faim d'un enfant toutes les six secondes etc . . .etc . . . Mais à côté de ces grands crimes, il existe bien d'autres atteintes à la dignité humaine, je vous en conterai deux exemples.
Le président de la STIB (Métro Bruxellois ) incite les usagers à refuser toute aide aux mendiants ou sans papier qui quémandent un peu d'aide. Ce président reconnaît que ces malheureux sont en détresse, mais, nouveau Ponce Pilate, il veut les renvoyer dehors. Et bien moi, il me donne envie d'être plus généreux et d'inciter les autres à l'être.
Deuxième exemple: nous sommes à Tournai, ville administrée par des personnes appartenant au parti socialiste ou plutôt, nous le verrons pseudo-socialiste, mais aussi des personnalités dites humaniste d'inspiration chrétienne manifestement en panne d'Évangile et enfin des libéraux purs et durs reconnaissant eux le droit pour une petite minorité d'accaparer un maximum de richesses et en même temps trouvent pratiquement acceptable que des millions de femmes et d'hommes exploités jusqu'à être privés de toit, d'éducation, de santé au mépris des principes affirmés d'une démocratie plus virtuelle que réelle.
Qu'ont décidé ces conseillers communaux? D'éloigner les pauvres mendiants qui font tâche dans nos rues commerçantes comme si cacher la misère supprimait la misère. Cette turpitude qui hélas n'est pas propre à Tournai déshonore ceux qui la décident et déconsidère la démocratie.
Yvan Balchoy
C'est une chanson de, je crois, Pierre Perret.
Il y parle entre autres de la gestapo; il faut bien sûr ajouter la Shoah, la torture, la mort de faim d'un enfant toutes les six secondes etc . . .etc . . . Mais à côté de ces grands crimes, il existe bien d'autres atteintes à la dignité humaine, je vous en conterai deux exemples.
Le président de la STIB (Métro Bruxellois ) incite les usagers à refuser toute aide aux mendiants ou sans papier qui quémandent un peu d'aide. Ce président reconnaît que ces malheureux sont en détresse, mais, nouveau Ponce Pilate, il veut les renvoyer dehors. Et bien moi, il me donne envie d'être plus généreux et d'inciter les autres à l'être.
Deuxième exemple: nous sommes à Tournai, ville administrée par des personnes appartenant au parti socialiste ou plutôt, nous le verrons pseudo-socialiste, mais aussi des personnalités dites humaniste d'inspiration chrétienne manifestement en panne d'Évangile et enfin des libéraux purs et durs reconnaissant eux le droit pour une petite minorité d'accaparer un maximum de richesses et en même temps trouvent pratiquement acceptable que des millions de femmes et d'hommes exploités jusqu'à être privés de toit, d'éducation, de santé au mépris des principes affirmés d'une démocratie plus virtuelle que réelle.
Qu'ont décidé ces conseillers communaux? D'éloigner les pauvres mendiants qui font tâche dans nos rues commerçantes comme si cacher la misère supprimait la misère. Cette turpitude qui hélas n'est pas propre à Tournai déshonore ceux qui la décident et déconsidère la démocratie.
Yvan Balchoy