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Publié par YVAN BALCHOY

Il accumule depuis plusieurs mois, des provocations contre les 35 heures, contre les droits des travailleurs et à présent, comble des combles, contre le principe même de l'élection des plus hauts responsables de l'Etat.

Emmanuel Macron, l'ancien banquier de ce symbole type du capitalisme, la banque Rothschild, vrai cheval de Troie de l'intelligentsia de droite, torpille de l'intérieur la politique promise au début de son septennat par Monsieur Hollande.

Monsieur Vals, autre persifleur des valeurs de la vraie gauche lui fait bien quelques remarques pour prétendument le réajuster, mais il veille bien chaque fois à rappeler que Macron, malgré, ces mini-erreurs, reste le poulain préféré du gouvernement de Monsieur Hollande.

Non Monsieur Macron, vous minez petit à petit, les fondements mêmes d'un socialisme fondée sur la justice sociale et opposé à la politique du MEDEF, des patrons qui veulent le beurre et l'argent du beurre, des milliards arrachés aux droits sociaux des travailleurs et concédés sans vrai contrôle au Patronat et à son patron dont la cravate, disparue aujourd'hui comme un mensonge éhonté, annonçait un million d'embauches.

Oui la droite a raison de penser que les idées de Macron sont les siennes et que sa place est en son sein.

Monsieur Macron, je le regrette vivement mais malgré vos sourires apparemment gentils, je vous trouve plutôt le "maquereau" du capitalisme trahissant ainsi le parti qui fut autrefois celui de Jaurès et du gouvernement du front populaire au service des travailleurs et surtout des plus fragiles.

. Si vous voulez être logique vis à vis de vous-mêmes et honnête vis à vis du peuple, donnez vitre votre démission d'une gauche que vous salissez et rejoignez le camp des Nadine Morano, des Ciotti et autres requins qui travaillent en priorité pour le profit des patrons et autres pilleurs du peuple français.

Ce matin Europe 1, et son économiste du journal plus fossile qu'on ne croit l'Echo, citait Jaurès à propos des heures supplémentaires.

Jaurès admettait cette possibilité, à partir du moment où chaque travailleur ou candidat travailleur était au travail. Qui peut légitimement penser que la situation actuelle du marché du travail correspond à ce qu'affirmait le grand leader socialiste ?