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COMBIEN D'ENTRE NOUS ONT ETE UN JOUR REFUGIES
Photo (1916) de mes grands-parents paternels-agriculteurs à Froidchapelle en Belgique- et de leurs sept enfants réfugiés à Luzarches (Val-d'Oise, France) entre août 1914 et novembre 1918.
Leur meilleur souvenir: la solidarité de très nombreux Français avec les infortunés réfugiés belges.
C'est ce qui se passe aujourd'hui en Belgique, n'en déplaise aux De Wever, Jambon, Francken et autres sinistres individus à l'idéologie nauséabonde.
(Mon papa, Paul Pestieau, est le petit garçon de six ans à côté de sa maman)
J'ai raconté dans ce blog mon "exode en France" du 10 mai où à 4 ans je me rappelle très bien les stukas allemands au-dessus de Dinant puis notre périple (EXODE) de trois mois en France jusqu'à cette cité d'Ouradour où il valait mieux être en 1940 qu'en 1944.
Je continue à réclamer le dissolution de cet office des étrangers, étai illégal dans l'Etat et le démission de Théo Francken, qui, pour ses propos antérieurs, aurait pu être condamné à la déchéance de ses droits civiques.
Hélas la trahison de Charles Michel communautaire au départ devient de plus en plus éthique.