A CARACAS UN ARCHEVÊQUE QUI TOURNE CARREMENT LE DOS A L'EVANGILE !
Dans ce texte ce évèque qui mériterait d'être réduit à l'état laïc pour sa trahison du message évangélique réclame une séparation de l'éducation. D'une part tous ceux qui ont la possibilité d'accéder par leur situation dans la société aux postes les plus importants les plus enrichissants doivent être traités à part des enfants du peuple qui n'ont pas cette chance qui doivent être éduqués dans le respect de l'ordre établi (refus d'un seul enseignement pour tous les Vénézuéliens)
L'Eglise doit avoir la possibilité de diriger ces deux types d'enseignement et non bien sûr un état athée (comme celui de Maduro !)
On imagine facilement son action potentielle au Chili, en Argentine, au Brésil au Salvador dictature sanglante et impitoyable. au moment où ces états subissaient une dictature sanglante et impitoyable, fomentée par les USA.
L'intervention incomplète et injuste d'un pseudo philosophe de plus sur Europe 1 ce matin en attaquant d'une façon unilatérale et injuste le président Maduro laissant sous silence les tirs des opposants contre la police, et caricaturant le président légitime au nom d'une Opposition intellectuellement proche des putschistes qui ont assassinés le président Allende.
Mais ce pseudo philosophe est-il totalement libre face au pouvoir financier qui dirige Europe 1. Je n'en suis pas si sûr si je suis d'accord avec lui pour regretter certains aspects négatifs de la politique Vénézuélienne.
Pour mieux comprendre l'état d'esprit déplorable du Cardinal Urosa de Caracas voici une autre déclaration de sa part qui prouve bien que sa conception de l'Eglise non seulement n'a rien à voir avec l'Evangile mais date de près d'un siècle.
Le cardinal Urosa réagit à la nouvelle loi sur l’éducation religieuse
31 juillet 2009RedactionOrganisations caritatives, humanitaires
ROME, Vendredi 31 juillet 2009 (ZENIT.org). – L’éducation religieuse « est un droit déjà acquis », et une éducation pluraliste et nationaliste ne peut aller « au détriment de ce droit ».
Cette prise de position de l’archevêque de Caracas, le cardinal Jorge Urosa Sabino, est une réponse aux déclarations du ministre de l’éducation vénézuélien, Héctor Navarro, sur la Loi organique sur l’éducation, qui exclue l’enseignement de la religion dans les écoles publiques du pays.
Selon le ministre, l’enseignement d’une religion spécifique conduirait à « ne pas respecter le credo d’autres religions ».
La Loi organique sur l’éducation a été présentée mercredi au Théâtre municipal de Valence et stipule que l’éducation doit répondre à « une vision démocratique fondée sur les principes de liberté de conscience, de solidarité, de tolérance, de respect et de justice ».
La loi compte insister particulièrement sur l’éducation environnementale, linguistique, historique et géographique, dans la mesure où, selon ses partisans, ces éléments « sont liés à la souveraineté du pays ».
Le cardinal Urosa demande à ce que « l’éducation religieuse soit maintenue sur la base de l’orientation des parents et des élèves qui étudient dans certaines écoles particulières ».
« La loi actuelle ne doit pas abandonner ce qui a été acquis et qui n’est rien d’autre que la reconnaissance de la nécessité que le peuple vénézuélien ait une formation religieuse », estime l’archevêque de Caracas.
Dans la nouvelle loi sur l’éducation, relève-t-il, il est important que « l’on tienne compte non seulement du pluralisme politique, de l’ouverture de la loi à tous les courants de pensée, du droit et de la responsabilité de la famille », mais aussi d’un « Etat qui ne soit pas seul détenteur de l’éducation, qu’il n’ait pas, à lui tout seul, le monopole de l’instruction ».
Le cardinal Urosa appelle enfin l’Association vénézuélienne pour l’éducation catholique et toutes les institutions et les familles du Venezuela « à se mobiliser et à manifester leur désir que, dans la nouvelle loi, l’éducation religieuse soit maintenue dans les écoles et durant les horaires scolaires ».
https://fr.zenit.org/articles/caracas-l-education-religieuse-est-un-droit/