Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Archives

Publié par BALCHOY

12092012075-1-.jpg

 

 

 

En 1969, faisant partie de l’équipe de la revue franciscaine « Evangile Aujourd’hui », j’eus la responsabilité du numéro 64 consacré à l’Homme de Nazareth.  Ce numéro, grâce à au témoignage de Roger Garaudy, fut relayé dans la presse mondiale car très nombreux furent ceux qui voulaient répondre ou prolonger la réflexion du philosophe marxiste à propos du Christ.

 

J’ai déjà publié dans ce blog l’écrit de Roger Garaudy et quelques autres aussi. Aujourd’hui je vous confie ce témoignage anonyme, marqué par l’époque où il fut écrit mais transmettant tout autant une partie de la Vérité universelle de Jésus.

 

 

POURQUOI  JE CROIS EN JESUS-CHRIST ?

 

Parce qu’il a cru à l’amitié jusqu’à lancer un monde nouveau où elle ferait la loi et qu’il en est mort.

Parc e qu’il aimait la vie et qu’il partageait tout.

Parc e qu’il disait devant tous ce qu’il croyait au plus profond de lui

Parc e qu’il a parlé comme personne et tout simplement de ce qui nous tient à cœur, la vie, la mort, l’amour, la beauté du monde et l’avenir.

Par ce qu’il n’a jamais flirté avec le mensonge ni la flatterie ni la lâcheté devant les puissants.

Parce qu’il a eu peur quand il s’est vu trahi.

Parce qu’il a cru très fort que rien n’était perdu de l’homme et du monde.

Parce qu’il parlait d’un autre et l’appelait son Père.

Parce qu’au bout de son histoire, il a écrit : « à suivre »

Parce qu’à ses yeux un banquier, un chef d’état, un lépreux repoussant, une prostituée, un paysan inculte, un gosse au bon sourire avaient tous même prix, même cœur, même soif d’être aimés et de vivre.

Parce que ni les tribunaux romains, ni les fusils à lunette du Texas ni notre lâcheté à tous n’ont réussi à faire taire sa voix.

Parce que J.F. Kennedy, M. L. King, Jean XXIII et bien d’autres m’en disent plus long de lui que tous les sermons. »

 

 

 

yvanbalchoy13@gmail.com

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article