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Publié par YVAN BALCHOY

 
 

 

 

 

 

orchidee.jpg

 

 

 

 

 

Femme

Qui a fleur de peau

Par monts et par vaux

 m’enflammes,

Femme si ondulante tige

Si jaillissante cime

Toi qui me fascines

Et a la vie

M'enracines

De tes seins a tes reins

Tu m'ouvres ton jardin

Aux senteurs de jasmin

Tu m'abreuves de tes fruits

Et de l'eau de ton puits

Qui apaise mes soifs

Les plus tenaces

Dans tes bras si blancs

C'est toujours le printemps.

Femme fleur

Aux senteurs

De bonheur

Toi, dont la couche

M'accouche

Toi qui par tes bouches a bouche

chasse mes peurs,

Et gomme mes frayeurs

Au contact de ta langue

Plus savoureuse que mangue

tu m'inities a mille conjugaisons

Qui multiplient nos passions.

Toi tout à la fois,

Source et embouchure

D'une volupté si nature

tu m’entraînes

au confins

des plus lointains

J'aime tant glisser mes doigt

Dans tes toisons de soie

Ou siècles et secondes

se confondent

en cette éternité de l’instant

où tu brises la motononie

et l’atonie

de l'enfermement

Du temps.

 

 

 

 

JE t'AIME

 

 

 

 

Yvan Balchoy

 

 

 

 

 

orchidee.jpg

 

 

 

 

 

Femme

Qui a fleur de peau

Par monts et par vaux

 m’enflammes,

Femme si ondulante tige

Si jaillissante cime

Toi qui me fascines

Et a la vie

M'enracines

De tes seins a tes reins

Tu m'ouvres ton jardin

Aux senteurs de jasmin

Tu m'abreuves de tes fruits

Et de l'eau de ton puits

Qui apaise mes soifs

Les plus tenaces

Dans tes bras si blancs

C'est toujours le printemps.

Femme fleur

Aux senteurs

De bonheur

Toi, dont la couche

M'accouche

Toi qui par tes bouches a bouche

chasse mes peurs,

Et gomme mes frayeurs

Au contact de ta langue

Plus savoureuse que mangue

tu m'inities a mille conjugaisons

Qui multiplient nos passions.

Toi tout à la fois,

Source et embouchure

D'une volupté si nature

tu m’entraînes

au confins

des plus lointains

J'aime tant glisser mes doigt

Dans tes toisons de soie

Ou siècles et secondes

se confondent

en cette éternité de l’instant

où tu brises la motononie

et l’atonie

de l'enfermement

Du temps.

 

 

 

 

JE t'AIME

 

 

 

 

Yvan Balchoy

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