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Nuit si courte Etreinte si lourde d'éternité Mes doigts mouvant seing entre tes seins savourent leur élasticité Nos ventres soudés ensemble par leur intime humidité Tonvisage dernier paysage ultime volupté Même mon inconscient est pétillant de ton explosive...

Plaisir de te lire Emoi du son de ta voix Pain de ma faim Jeunesse quand tu te fais caresse Volupté de ta beauté Femme de ton âme Soleil de mon éveil Mouvance en errance Fille de la pluie Soeur tout en douceur Présence qui donne sens Ma messe de tendresse...

Le colonialisme n' est pas une machine à penser , n' est pas un corps doué de raison . Il est la violence à l' état de nature et ne peut s' incliner que devant une plus grande violence . Les Damnés de la terre (1961) de FRANTZ FANON Cette Europe qui jamais...

Au petit matin, quand j'ouvre les yeux, Que je t'aime, mon Soleil. L'eau ruisselle joyeusement sur mon corps, Que je t'aime, Transparence. Tout est noir en moi, Que je t'aime, Lumière. Des hommes me font froid, Que je t'aime, Chaleur. La plume à la main,...

Gwendoline Taffin a commenté. Gwendoline Taffin · 2015 Je ne suis pas Charlie et je ne l´ai pas tué Je ne suis pas Charlie car ce jour fatidique de Janvier à Paris Moururent beaucoup plus de personnes Qui, à mon sens, n´avaient pas moins , ni plus d´importance...

Près d'une église de campagne autour d'un parterre minuscule tout vert gravés sur bois quatre poèmes dont la Nature est sujet-objet. 1 ETE OCEAN VERT DORE ECLAIR DE FEUILLES RENCONTRE EBLOUIE PASCALE P 2 AUTOMNE MURMURES ORANGE ET OR * CONFIDENCES LEGERES...

Publié par BALCHOY Que je t'aime, Dinant, étirée le long de ton ruban d'argent, enfouie dans ton écrin gris vert, abritée par ta Collégiale si fière. Tu me rappelle, Dinant, ma jeunesse d'antan, mes longues marches solitaires à travers tes sentiers parsemés...

Racine - France Archive.fr Sur le bonheur des Justes Jean Racine SUR LE BONHEUR DES JUSTES, ET SUR LE MALHEUR DES REPROUVES Heureux, qui de la Sagesse Attendant tout son secours, N’a point mis en la Richesse L’espoir de ses derniers jours. La mort n’a...

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