SONGE D'UN MATIN D'HIVER
Hier, au petit matin,en sortant de mon lit,
Je me suis retrouvé en ton nid
tout surpris.
En petite tenue,
presque nue,
accolée à ton secrétaire
tu me fis signe de me taire.
Aussitôt je te rejoins
et mes doigts joints
par dessus ta nuisette
effleurent tes boutonnettes
puis descendant hardiment
caressent avidement
la douceur élastique
de ta mousse
si douce
qu'on la croirait aquatique.
Tes yeux
brillants comme cieux
me déshabillent si clairement
qu'en un instant
je me débarrasse de tous mes vêtements, t
tandis que tu laisses glisser
ta tunique à tes pieds.
Maintenant c'est le moment de vérité,
et ce qui a toujours échoué
cette fois réussit si parfaitement
que nous oublions nos anciens errements.
Je suis en toi,
je suis plus que moi,
En toi, tu me retiens
sans autre lien
qu'une joie qui sent bon le plaisir,
qu'une volupté empreinte de désir
où nos coeurs se marient à nos corps
tandis que nos sèves se mêlent si fort.
Au moment exquis
où de nous jaillit en un double cri
quelqu'un me secoue l'épaule
je me retrouve penaud dans mon lit
à moitié endormi.
Qu'importe ! Ce rêve ravive mon courage,
me sort quelque peu de noirs nuages.
J'y vois une promesse
de la vie, qu'avec toi, je réaliserai peut-être
un jour, ma mie.
Je me suis retrouvé en ton nid
tout surpris.
En petite tenue,
presque nue,
accolée à ton secrétaire
tu me fis signe de me taire.
Aussitôt je te rejoins
et mes doigts joints
par dessus ta nuisette
effleurent tes boutonnettes
puis descendant hardiment
caressent avidement
la douceur élastique
de ta mousse
si douce
qu'on la croirait aquatique.
Tes yeux
brillants comme cieux
me déshabillent si clairement
qu'en un instant
je me débarrasse de tous mes vêtements, t
tandis que tu laisses glisser
ta tunique à tes pieds.
Maintenant c'est le moment de vérité,
et ce qui a toujours échoué
cette fois réussit si parfaitement
que nous oublions nos anciens errements.
Je suis en toi,
je suis plus que moi,
En toi, tu me retiens
sans autre lien
qu'une joie qui sent bon le plaisir,
qu'une volupté empreinte de désir
où nos coeurs se marient à nos corps
tandis que nos sèves se mêlent si fort.
Au moment exquis
où de nous jaillit en un double cri
quelqu'un me secoue l'épaule
je me retrouve penaud dans mon lit
à moitié endormi.
Qu'importe ! Ce rêve ravive mon courage,
me sort quelque peu de noirs nuages.
J'y vois une promesse
de la vie, qu'avec toi, je réaliserai peut-être
un jour, ma mie.
Yvan Balchoy
yvanbalchoy13@gmail.com
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