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Publié par YVAN BALCHOY

10-03-24-EN PLEIN GENOCIDE L'ETAT FRANCAIS MENACE D'EXPULSER TROIS ENFANTS ET LEURS ENFANTS VERS LA BANDE DE GAZA (INVESTIG'ATION-MICHEL COLLON)

https://investigaction.net/en-plein-genocide-letat-francais-menace-dexpulser-trois-enfants-et-leurs-parents-

En plein génocide l’État français menace d’expulser trois enfants et leurs parents vers Gaza
CONTRE ATTAQUE8 FÉVRIER 2024
Après que les autorités françaises aient traqué toute parole qui contestait la propagande de guerre israélienne, apporté son soutien inconditionnel à un régime génocidaire et financé l’un des pires massacres de l’histoire contemporaine, elles souhaitent expulser une famille palestinienne qui vit à Rennes vers la bande de Gaza, devenue un véritable tombeau à ciel ouvert.
C’est par voie de presse, dans un article de Ouest-France du 5 février, qu’on apprend que la préfecture d’Ille-et-Vilaine ne s’opposait pas à l’expulsion de Shaden et Ibrahim Awad ainsi que leurs 3 enfants.

L’enclave palestinienne a littéralement été rasée par les bombardements de l’armée coloniale israélienne. Plusieurs dizaines de milliers de palestiniens ont été tués depuis le 7 octobre, d’autres sont encore ensevelis sous les décombres. Deux millions de personnes ont été déplacées de force. Le risque de famine et le manque de soins menacent directement la vie de centaines de milliers de gazaouis. Le sud de la bande de Gaza, où s’entassent les réfugiés palestiniens dans la région de Khan Younes, est pilonné par l’aviation israélienne. Il s’agit du plus grand massacre d’enfants de ce début de siècle. Mais un Préfet valide l’ordre d’expulsion dans cet enfer.

Cette famille gazaouie avait réussi à fuir les bombardements israéliens de 2014 et à échapper à la mort. En 2018, les autorités françaises leur refusaient le droit d’asile, les empêchant de travailler. Depuis 2021, malgré différents recours et la fin de validité de leurs attestations de demandeurs d’asile, le couple est sans-papiers. Malgré une promesse d’embauche, leurs demandes de titres de séjour sont restées sans réponse et leur vie est en suspens. En février 2024, ils sont menacés d’être déportés dans la ville cimetière de Gaza. Et ce n’est pas un cas isolé.En plein génocide l’État français menace d’expulser trois enfants et leurs parents vers Gaza
CONTRE ATTAQUE8 FÉVRIER 2024
Après que les autorités françaises aient traqué toute parole qui contestait la propagande de guerre israélienne, apporté son soutien inconditionnel à un régime génocidaire et financé l’un des pires massacres de l’histoire contemporaine, elles souhaitent expulser une famille palestinienne qui vit à Rennes vers la bande de Gaza, devenue un véritable tombeau à ciel ouvert.
C’est par voie de presse, dans un article de Ouest-France du 5 février, qu’on apprend que la préfecture d’Ille-et-Vilaine ne s’opposait pas à l’expulsion de Shaden et Ibrahim Awad ainsi que leurs 3 enfants.

L’enclave palestinienne a littéralement été rasée par les bombardements de l’armée coloniale israélienne. Plusieurs dizaines de milliers de palestiniens ont été tués depuis le 7 octobre, d’autres sont encore ensevelis sous les décombres. Deux millions de personnes ont été déplacées de force. Le risque de famine et le manque de soins menacent directement la vie de centaines de milliers de gazaouis. Le sud de la bande de Gaza, où s’entassent les réfugiés palestiniens dans la région de Khan Younes, est pilonné par l’aviation israélienne. Il s’agit du plus grand massacre d’enfants de ce début de siècle. Mais un Préfet valide l’ordre d’expulsion dans cet enfer.

Cette famille gazaouie avait réussi à fuir les bombardements israéliens de 2014 et à échapper à la mort. En 2018, les autorités françaises leur refusaient le droit d’asile, les empêchant de travailler. Depuis 2021, malgré différents recours et la fin de validité de leurs attestations de demandeurs d’asile, le couple est sans-papiers. Malgré une promesse d’embauche, leurs demandes de titres de séjour sont restées sans réponse et leur vie est en suspens. En février 2024, ils sont menacés d’être déportés dans la ville cimetière de Gaza. Et ce n’est pas un cas isolé.

Qu'en pense le nouveau premier Ministre et la Présidente de l'Assemblée nationale ?

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