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Publié par YVAN BALCHOY

28-06-23- HEROS DE LA LIBERTE FACE AUX MERCENAIRES DES MEDIA-MENSONGES
Chaussures de migrants morts échouées sur les plages italiennes sans leurs propriétaires.
Être migrant, être réfugié, c'est toujours mourir un peu.
Les déracinés, l'aliénation, le jugement aux yeux des autres. Le mal du pays.
Idéalement, tout le monde continuerait à vivre dans sa patrie.
Idéalement, n'était-ce pas pour 1000 raisons pourquoi ce monde est tout sauf idéal ?
Et puis les gens doivent migrer pour une vie meilleure, ou simplement vivre, n'importe quelle forme de quelque chose qui ressemble à une vie.
Je le sais je l'ai fait aussi
Vous le feriez aussi à leur place.
La migration se meurt toujours un peu.
Ce n'est la faute de personne.
C'est la faute de tout le monde.
C'est juste comme ça.
Voilà qui nous sommes. Quand même c'est trop.

Ces "va-nu pieds" à mes yeux valent mille fois mieux que la racaille qui sournoisement minimise leur mort ou l'attribue seulement à ses guides qui aiment l'argent comme nos faux journalistes d'ailleurs. On n'est mercenaire, comme on peut.

En tout cas pas moi, qui vous considère comme mes frères assassinés par le CAPITALISME comme Guy Moquet un vrai héros, lui.

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