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Publié par YVAN BALCHOY

Wallonia’s political intrigues underpin EU-Canada pact travails  (FINANCIAL TIMES)

 

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Wallonia’s political intrigues underpin EU-Canada pact travails

October 21, 2016

by: Jim Brunsden and Duncan Robinson in Brussels

When European officials spent five years negotiating a trade deal with Canada, they did not expect to have to pay much attention to the views of people like Frédéric Gillot.

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A 54-year old moustachioed steelworker who represents the neo-communist Belgian Workers Party in the regional parliament of Wallonia, Mr Gillot is now one of the participants in a drama that has seen a local assembly threaten to wreck an EU-Canada agreement

Belgium’s devolved system of government — and the prized rights of its five local assemblies — means that the country cannot give its blessing to the deal without Wallonia’s say-so. That means the EU cannot either.

Those rules led to the spectacle of 28 EU leaders this week in Brussels waiting for the decision of Paul Magnette, the minister president of Wallonia. An unlikely poster-child for critics of globalisation, the former academic’s face has been photoshopped onto Che Guevara's silhouette on social media.

Held to ransom by Walloon demands, the EU has been forced to relax its exclusive grip on trade policy and allow Mr Magnette to enter detailed negotiations not only with senior EU officials, but directly with Canada.

One Walloon lawmaker praised Mr Magnette for “having obtained more for society in two weeks that the rest of the [European] negotiators managed in two years”.

“These concessions have only been gained because of the obstinacy of the Walloons,” said Christophe Collignon, a member of the centre-left Socialist Party. “We are giving a little bit of an example to Europe.”

Top EU diplomats are suddenly having to acquaint themselves with the swirl of politics in Namur's parliamentary chamber, where the Canada deal faces broad opposition, stretching from centre-right Christian Democrats to the extreme left. The groups have vowed to block the accord until better guarantees can be obtained on protection of social and environmental rights. 

One Walloon MP said on Friday any deal would need to be “good for Wallonia” - which accounts for a quarter of Belgian gross domestic product — and “good for Canada”, the world’s tenth largest economy.

As the parliament met on Friday to review progress, MPs, including Mr Gillot, called for more protection for Walloon farmers and businesses, and demanded that any compromises be “really binding”.

The origins of the Walloon resistance are complex and deep-rooted, as well as intensely political. The region of 3.5m people was once one of the industrial heartlands of Europe but has endured decades of decline. 

The impasse over the Canadian deal comes after the announcement last month by Caterpillar, the US construction equipment manufacturer, that it is closing a large production plant in Belgium — a decision that could cost up to 2,200 jobs. 

The factory is located close to Charleroi, a city that has become a byword for industrial decline, with an unemployment rate of over 20 per cent. As well as being minister president of Wallonia, Mr Magnette is also Charleroi’s mayor.

We are one of the few regional parliaments in Europe that has the same power as a national parliament

Paul Magnette, minister president of Wallonia

“The majority [in the Wallonian] parliament is composed of parties not in the federal government, so one of their biggest pleasures is to tease and humiliate [Belgian prime minister] Charles Michel,” adds Jean De Ruyt, a former Belgian diplomat who served as the country’s ambassador to the EU.

The francophone Socialists are also reacting to the rise of their rivals, the Belgian Workers party.

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européenne-Canada.

Frédéric Gillot métallurgiste liégeois, député PTB

Frédéric Gillot métallurgiste liégeois, député PTB

Intrigues politiques de Wallonie sous-tendent travails Pacte UE-Canada (FINANCIAL TIMES) 

21 octobre 2016 

par : Jim Brunsden et Duncan Robinson à Bruxelles

Lorsque des fonctionnaires européens a passé cinq ans de négociation un accord commercial avec le Canada, ils ne s’attendait pas à devoir payer beaucoup d’attention aux vues des gens comme Frédéric Gillot.

Déguster les meilleures histoires de FT pour une semaine

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Un métallo moustachu âgé de 54 ans qui représente le parti ouvrier belge néo-communiste au Parlement régional de Wallonie M. Gillot est aujourd'hui l’un des participants à un drame qui a vu une assemblée locale menacent de détruire une UE- Canada accord. 

Belgique les de déléguée système de gouvernement — et les droits prisés de ses cinq assemblées locales — signifie que le pays ne peut pas donner sa bénédiction à l’accord sans la permission de la Wallonie. Cela signifie que l’UE ne soit.

Ces règles conduit au spectacle de 28 dirigeants de l’UE cette semaine à Bruxelles en attendant la décision de Paul Magnette, le ministre-président de Wallonie. Un enfant d’affiche improbable pour les critiques de la mondialisation, le visage de l’ancien universitaire a été retouchées sur la silhouette de che sur les médias sociaux.

Tenue en otage par des exigences de la région wallonne, l’UE a été contraint de se détendre son emprise exclusive sur la politique commerciale et permettre à M. Magnette entrer dans des négociations détaillées non seulement avec les hauts fonctionnaires de l’UE, mais directement avec le Canada.

Un législateur wallon a salué M. Magnette pour « ayant obtenu plus de la société en deux semaines que le reste des négociateurs [européens] réussi en deux ans ». 

« Ces concessions ont seulement été acquise en raison de l’obstination des Wallons, » a déclaré Christophe Collignon, membre du parti de centre-gauche socialiste. « Nous donnons un peu d’un exemple pour l’Europe ».

Meilleurs diplomates de l’UE doivent faire tout d’un coup se familiariser avec le tourbillon de la politique à Namur de chambre parlementaire, où l’accord Canada fait face à une opposition large, s’étendant de démocrates chrétiens de centre-droit à l’extrême gauche. Les groupes ont juré de bloquer l’accord jusqu'à ce qu’on trouvera les meilleures garanties sur la protection des droits sociaux et environnementaux. 

Un député wallon a dit le vendredi tout accord devra être « bon pour la Wallonie » - qui représente un quart du belge produit intérieur brut — et « bon pour le Canada », la dixième puissance économique mondiale.

Comme le Parlement s’est réuni vendredi pour examiner les progrès accomplis, députés, dont M. Gillot, appelé pour plus de protection pour les agriculteurs de la région wallonne et les entreprises et a exigé que tout compromis « vraiment obligatoire ».

Les origines de la résistance de la région wallonne sont complexes et profondes, ainsi qu’intensément politique. La région de 3,5 millions de personnes était autrefois un des plus industriels d’Europe mais a subi des décennies de déclin. 

L’impasse sur l’affaire canadienne intervient après l’annonce le mois dernier par Caterpillar, le fabricant de matériel de construction américain, qu’il se ferme une usine de production de grande taille en Belgique — une décision qui pourrait coûter jusqu'à 2 200 emplois. 

L’usine est située à proximité de Charleroi, une ville qui est devenue synonyme de déclin industriel, avec un taux de chômage de plus de 20 %. En plus d’être ministre-président de Wallonie, M. Magnette est également maire de Charleroi.

Nous sommes l’un des quelques parlements régionaux en Europe qui a le même pouvoir que le Parlement national

Paul Magnette, ministre-président de Wallonie

« Le Parlement de la majorité [dans le Brabant] est composé des parties pas au gouvernement fédéral, donc un de leurs plus grands plaisirs est de taquiner et humilier [premier ministre belge] Charles Michel, » ajoute Jean De Ruyt, un ancien diplomate belge qui a servi comme ambassadeur du pays à l’UE.

Les francophones socialistes réagissent également à la hausse de leurs rivaux, le parti ouvrier belge.

u drame qui a vu une assemblée régionale menacé l'accord Union
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