DE L'INDEPENDANT A "CONTRE NUIT" UNE MUTATION QUE JE VOUIS INVITE A REJOINDRE
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"Une "mutation historique" est parfois appelée "révolution" ce qui ne présente nul inconvénient à condition de donner à ce mot son sens plein; une révolution, ce n'est ni une bourrasque de violence ni un simple changement des équipes au pouvoir; une "révolution", c'est, dans la vie d'un peuple, ce qu'est une "conversion" dans la vie d'un homme, c'est-à-dire un changement radical des fins, des valeurs et du sens de la vie et de l'histoire. [Roger Garaudy. Gorée, 12/09/1979
Comment l'homme devint humain, Editeur J.A., p. 340]"
Sans en partager toutes les thèses, je veux contribuer à faire découvrir ou redécouvrir une oeuvre (inséparable d'une vie) actuellement boycottée, tronquée et déformée, et à l'inscrire dans la résistance et la construction d'alternatives aux dérives de notre temps. Ma ligne éditoriale va de Marx - "une société où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous" - à Teilhard de Chardin - "tout ce qui est foi monte, et tout ce qui monte converge" - , en n'écartant aucune pensée indépendante. :
http://rogergaraudy.blogspot.fr/p/tous-les-articles.html
P.S. C'est vrai que je regrette l'indépendance si humaniste du site d'Alainindependant. J'aimerais, si c'est possible, que ce site, devenu inactif, reste à disposition des internautes pour qui il garde toute sa valeur.
Peut-être Est-il encore possible de bénéficier de la richesse de ses articles à partir d'une adresse, que pourrait nous fournir son animateur ? Ce serait chouette.
Mais vive l'avenir! Ayant connu Roger Garaudy et reçu de lui pour une revue dont je m'occupais "Evangile Aujourd'hui" un article qui secoua toute la presse mondiale et ébranla jusqu'au pape qui lui consacra une grande part de son message de Noël de cette année-là.
Roger Garaudy pas plus à mes yeux que le pape qui le critiquait n'était pas un homme infaillible mais il fut un passionné de vérité et d'humanité.
Il a payé cher, ainsi d'ailleurs que le saint Abbé Pierre qui refusa de le renier comme ami, sa critique d'un Sionisme qui tend à légitimer cette forfaiture des victimes d'hier qui deviennent bourreaux aujourd'hui d'un autre peuple sémite aussi sacré et saint que le leur.
Voilà pourquoi je consulte et je consulterai " A contre nuit" et je vous engage à vous y abonner le situer dans vos "Favoris".
YVAN BALCHOY