JUSQU'OU CHARLES MICHEL IRA-T-IL DANS LA VOIE DU DESHONNEUR ET DE LA TRAHISON ?
Ce dimanche, les ministres belges de l’Intérieur (Jan Jambon), de la Défense (Steven Vandeput) ainsi que le président de la Chambre (Siegfried Bracke), tous trois membres du parti nationaliste flamand N-VA, ont assisté à la Fête du Chant national Flamand, à Anvers. C’est un événement fréquenté par des nationalistes, où la fin de la Belgique est mise à l’honneur au son de Belgique crève.
Emberlificoté par son gouvernement, auquel il a associé des gens qui n’hésitent pas à participer à des fêtes antibelges aux côtés de néonazis, et interpellé par la passionaria socialiste Laurette Onkelinx, le premier ministre Charles Michel (libéral… ) a trouvé une excuse à son tour interpelante.
Par la voix de son porte-parole, il a comparé la participation de ses ministres à cette fête führibonde à… la présence de l’ancien premier ministre Elio Di Rupo à des meetings de campagne électorale de François Hollande, alors candidat-président de la France.
Oui, vous avez bien lu, une fête où l’extrême droite s’égosille quelquefois sur l’hymne national sud-africain de l’époque de l’Apartheid, c’est pareil qu’un meeting du Parti socialiste français ! Gageons que le président de la France appréciera la comparaison.
http://blog.marcelsel.com/2015/03/12/le-premier-ministre-belge-assimile-francois-hollande-a-des-neofascistes/
Oui, jusqu'où Charles Michel ira-t-il dans le déshonneur et la trahison des valeurs de sa communauté ?
Yvan Balchoy