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UN INTERVIEW TRES COMPLAISANT (REEDITION) 20 SEPT 2007
Ce soit sur TF1 et Antenne 2 interview orchestré par Poivre d'Arvor dont c'est aujourd'hui le soixantième anniversaire que je lui souhaite heureux et Madame Chabot aussi transparente que d'habitude. Ah si le petit facteur candidat à la Présidence République avait pu interroger Sarkosy le dialogue entre eux aurait été autrement percutant !
Je voudrais simplement relever le genre d'énormité que Sarkosy ose sortir dans de tels entretiens face à ces deux journalistes à la fonction de "faire valoir" ou "faire reluire".
Quand il se plaît de ne pas avoir de moyens pour soigner correctement les français sans les obliger à mettre beaucoup plus la main au portefeuille, il affirme froidement : "Il n'y a pas d'argent" alors qu'il vient de distribuer "généreusement" 14 milliards à ses copains, aux français les plus riches qui n'avaient pas besoin de ces 14 milliards puisqu'ils sont déjà pour la plupart immensément riches.
Une telle omission s'appelle pour moi un mensonge éhonté.
Nous le voyons de même laisser poursuivre en justice suite à une plainte sans doute légitime au départ de sa part, un ancien premier ministre alors que lui-même grâce à une législation très injuste est à l'abri de toute justice.
Au moins Chirac, que beaucoup trouvaient trop silencieux s'il n'acceptait pas d'être jugé ne se permettait pas de poursuivre ses adversaires.
Je pourrais multiplier ce genre d'exemple mais je préfère que vous le fassiez vous-mêmes.
Nous le voyons semaine après semaine détricoter toute la législation sociale que le peuple de France s'est acquis souvent en versant son sang face aux ancêtres de son MEDEF chéri qui est son vrai parti politique et économique.
Excusez-moi mais l'entretien de ce soir ne m'a pas fait changé d'avis : Sarkosy est certes le Président légitimement élu des Français mais il est et reste un arriviste et même sous certains aspects, comme sa politique vis à vis des plus faibles chômeurs, des sans papier victimes d'un monde dont il est solidaire, à me yeux je le répète, cet homme socialement parlant est un "voyou". (A propos des sans papier l'attitude illégale du gouvernement français face aux réfugiés en Corse, avec la complicité de l'ex-socialiste traître Besson, prouve que la loi n'engage Sarkosy que quand elle confirme ses convictions)
Nul doute que demain, avec le journaliste et les français qu'il s'est choisis, sera une réédition de ce qui s'est déjà passé en septembre 2007.
Yvan Balchoy
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Yvan Balchoy