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Publié par BALCHOY

 

Primaire du P.S. - Le mauvais procès de M. Copé.

 

Il fait tout pour torpiller les primaires du Parti Socialiste. C'est vrai que l'U.M.P. ne permet pas à ses adhérant d'avoir leur mot à dire sur le candidat en 2012 car le parti, c'est clair appartient à Sarko, Copé et ceux qui en retirent pouvoir et avoir.

Certes il est normal d'éviter que ces primaires tournent au fichage des français. Les socialistes ont, semble-t-il,  pris à ce sujet toutes les précautions légales nécessaires et utiles, ce qui n'est pas toujours le cas des fichiers sournois créés en sourdine par la droite.

 

Copé, qui fut parfois indélicat dans son déontologie politique et professionnelle a une fois de plus raté l'occasion de se taire. Le "Monde" a raison de conclure :

 

"En ciblant cette primaire, l'UMP met aussi en lumière sa pratique conservatrice du pouvoir, qui amènera ses seuls militants à reconduire dans quelques mois son candidat unique, Nicolas Sarkozy. Un bien mauvais procès"

 

 

L'OTAN TUE, L'OTAN TUE....

 

 

"L'Otan a admis, dimanche 19 juin, avoir tué des civils dans un quartier résidentiels de Tripoli. Il est question de "défaillance technique".

A ce propos, je tiens à protester devant l'affirmation souvent entendue hier à la radio qu'il s'agissait de la première bavure de l’OTAN ; Mensonges.  Tout d'abord, il y a eu déjà des victimes civiles à Tripoli selon les autorités catholiques de la Libye. De plus quand les bombardiers des puissances impérialistes ont tué un fils de Kadhafi et au moins deux de ses petits enfants, il s'agissait bien pour moi,  d'une bavure au mieux, d'un assassinat plutôt.

Quel abîme entre les précautions verbales des puissances occidentales quand elles cherchaient à obtenir le feu vert du Conseil de Sécurité. On parlait d'une zone de "protection des civils" à Ben Ghazi et nullement de bombardements nourris sur la Capitale et de l'évection du pouvoir par la force du colonel Kadhafi.

A cause de ces mensonges Onusiens, il sera très difficile d'obtenir des mesures de protections des civils en Syrie, d'autant plus que ces mesures déplairaient à l'autorité qui fait trembler les USA, la France et l'Angleterre réunie, l'état terroriste d'Israël, véritable état américain cloué au cœur du Moyen Orient pour tenter d'atténuer la culpabilité occidentale devant le crime de la Shoah.

 

Si un jour je rencontrais à Bruxelles Rasmussen servile secrétaire Danois de l'OTAN, je ne lui donnerai sûrement pas la main car elle est rouge du sang de civils tués par ceux-là même qui étaient censés les protéger.

 

 

LA JUSTICE TENTE DE REPONDRE AUX VIOLENCES POLICIERES.

 

Un policier qui avait tiré sur un jeune lors d'émeutes à Grigny (Essonne) est jugé pour avoir fait disparaître des indices.

  Le policier avait tiré, se reconnaissant "en situation de stress". Il avait blessé un jeune, Hakim Fatihi. 

 Arrêté après être passé aux urgences, le jeune homme est accusé d'avoir voulu tuer un policier. Il ne cesse aujourd'hui de protester en affirmant que ses aveux lui ont été imposés par les policiers. Il est alors mis en examen pour tentative de meurtre sur personne dépositaire de l'autorité publique et incarcéré. Je rappelle que cette accusation aurait suffi, selon la volonté de Sarkozy, à le déposséder de sa nationalité s'il était français depuis moins de dix ans.

 

En fait le policier, qui affirmait avoir tiré trois coups a fini par reconnaître être l'auteur des huit impacts retrouvés et s'être débarrassé des étuis d'armes vides en les jetant dans une bouche d'égout.

 

Le jeune homme mineur  de 17 ans risquait, à cause du mensonge de ce policier, de passer de longues années de sa vie en prison.

 



 

Le policier va être jugé. Il risque gros mais il a au moins reconnu son stress et ses mensonges ce qui a permis à la justice de libérer ce jeune homme  au bénéfice du doute et "avec les excuses de la justice".

 

Ce que le policier a fait est grave et mérite sanction. Je profite de l'occasion pour reposer la question du poids donné à la parole d'un policier et de ses collègues alors que parfois ils se mettent d'accord pour sauver l'un d'eux, même au détriment de la vérité.

 

Le plus grave dans ce fait divers, c'est l'attitude scandaleuse du procureur de la République d'Evry, JEAN FRANCOIS PASCAL, qui au courant des incohérences des affirmations du policier, ne les transmet pas au juge d'instruction et classe les accusations contre le policier sans suite. Aujourd'hui ce procureur, qui mériterait d'être mis à la porte de la justice pour cette faute entachée de lâcheté, " ne souhaite pas revenir sur cette affaire sur laquelle il s'est déjà exprimé".

 

Bien plus que le policier, qui, lui a reconnu sa faute, c'est ce magistrat qui devait être jugé.

Je cite, pour finir, l’avocat du jeune homme, repris dans "LE MONDE" :



"Qu'y a-t-il de plus grave que des policiers qui construisent de toutes pièces un dossier pour justifier des tirs et un procureur qui les couvre en écartant des preuves alors qu'un mineur est en prison.

 

 SI ce que le Monde relate et je n'ai raison d'en douter, je ne considérerai que dans cette affaire, "Justice est faite" que lorsque ce procureur aura payé son infamie.  Sarkozy va-t-il réagir ?

 

 

 

"Boycottage de produits Israéliens : le parquet s'en remet à l'appréciation du tribunal".

 

 

Des organisations, représentant bien le puissant lobby juif en France, avait porté plainte contre  Madame Olivia Zemor, directrice éditoriale du site « Europalestine.com », pour incitation au boycott des produits israéliens dans un magasin "Carrefour".

 

Elles avaient porté plainte directement auprès de Michèle Alliot-Marie, qui avait donné ordre au parquet général de la cour d'appel de Paris d'engager des poursuites ! Il faut rappeler que cet appel au boycott avait eu lieu juste après le MASSACRE DE GAZA, appelé par les sionistes «plomb durci" qui avait assassiné 1400 Palestiniens dont 400 enfants à Gaza.

 

Finalement, la représentante du parquet s'en est remise à l'appréciation du tribunal" ce qui est peut-être l'indice de la perplexité des juges à considérer un boycott commercial, lié partiellement aux  crimes d'un état, comme une incitation à la haine, comme on le leur demandait.

Où est la haine entre ceux qui tentent d'empêcher la vente de légumes liés aux malheurs d'un peuple spolié de ses terres et ceux qui ont froidement assassiné 1400 personnes coupables d'appartenir au même peuple que quelques activistes qui ont lancé des mini-missiles sur le territoire israélien avec très peu de victimes civiles.

 

 

Jérusalem une ville à partager… Israël-Palestine, comment en sortir ?

 

Le titre de cet article d’Arnaud Klarsfeld tinte déjà en moi comme un signe d’espérance !

 

 

Yvan Balchoy

yvanbalchoy13@gmail.com

http://poete-action.ultim-blog.com

 


 

 


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