A SAINT LEGER LE CANAL BLESSE QUELQUE PEU PAR LE VENT RESTE ETINCELANT DE BEAUTE
Fracassés par Messire le Vent en tempête ?
LE CANAL LIEN, RUBAN INTERCULTUREL
PRINTEMPS DE VICTOR HUGO (EXTREAITS)
Les peupliers au bord des fleuves endormis
Se courbent mollement comme de grandes palmes
L'oiseau palpîte au fond des bois tièdes et calmes
Il semble que tout rit et que les arbres verts
Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers
Le jour naît couronné d'une aube fraiche et tendre
Le soir est plein d'amour ; la nuit on croit entendre
A travers l'ombre immense et sous le ciel béni
Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini
Victor Hugo (1802-1885)
Poème rappelé le long du canal
Le canal
Joli miroir
dont les arbres
dansent
tout ondulés
Au fil de l'eau,
déshabille son silence
Si vertical
Si horizontal
Du vol et des cris
Des poules d'eau
Qui chantent avec moi
Leur joie de vie
Yvan Balchoy (18/01/2014)
FERME AYANT APPARTENU AUTREFOIS AUX TEMPLIERS