NAÏADE
Ma mie où donc es-tu partie ? Mon coeur te pleure, chaque nuit, dis-moi le nom de ta Galaxie, que je t'y rejoigne moi-aussi. te souviens-tu du temps amène, où chaque seconde, entre nous, s'appelait "Paradis", tandis que je puisais en tes yeux un bonheur infini ? Oui, c'est vrai qu'il faut être un peu fou, pour croire à un amour si doux. Mais, comme l'a dit le grand Jacques, lui aussi, sans doute, un soir d'orage, aux chemins tout tracés, qu'on appelle "sagesse", je préfère ce grain de folie et ses mille caresses ! Yvan Balchoy