ENCHERES RECELEUSES ET VOLEUSES AU GRAND PALAIS
"Mercredi, la "vente du siècle" s'achève par la dispersion de sculptures et autres objets d'arts, particulièrement celle de deux bronzes chinois, une tête de lapin et une tête de rat provenant du sac du Palais d'été à Pékin en 1860, en dépit de l'insistance de Pékin à demander leur restitution".
Il s'agit en autres de ces
deux têtes d'animaux en bronze arrachés en Chine lors d'une expédition coloniale digne de ce qui s'est passé en Europe au milieu du siècle dernier, pour obliger l'Empire du Milieu à se livrer au trafic de l'opium. Une ignominie des puissances occidentales qui galvaudent tellement les droits de l'homme tous les jours sur leur propre territoire.
Cette vente au grand Palais, à l'heure d'une crise financière et économique mondiale qui est le fruit de l'avidité des grands de ce monde est plus qu'indécente elle est délictueuse. Car ces vendeurs masqués, qui, en grande partie, font partie des fauteurs de crise savent bien que ce qu'ils font, au regard de la solidarité humaine est une turpitude. En dépensant en ces enchères des sommes manifestemet excessives, ils volent en droit et justice la communauté humaine.
Mais par l'abdication des états à faire payer un impôt proportionnel à la richesse de chacun, comme en particulier en France à travers le dégoûtant bouclier fiscal imaginé par un président voyou, des fortunes colossales et immorales se sont constituées qui se moquent bien de la crise et sont un injure vivante aux millions de gens qui sur cette terre n'ont pas "une pierre où reposer la terre."
Si un nouveau Lénine dépouillait demain ces voleurs du peuple pour permettre à chacun de recevoir un vrai minimum vital j'applaudirais des quatre mains.
Je considère donc que les oeuvres d'art vendues et achetées, au Grand Palais pour des profits privés ou des coffres bancaires, ont été volées à la communauté humaine.
Monsieur Berger dit bien qu'il va consacrer une partie des fruits de la vente à la recherche contre le Sida. Combien, SVP ?
Quant aux deux bronzes chinois, le marché qu'il a proposé au peuple chinois est d'une indécence rare. Je persiste à penser que Pekin respecte infiniment mieux les thibétains, entre autres en les libérant du Moyen âge religieux que les Colonialistes en Chine qui étaient voleurs et massacreurs.
Celui ou ceux qui ont acheté ces oeuvres sont des recéleurs d'un bien qui appartient au peuple Chinois et non à Pierre Berger, n'en déplaise à un juge indigne.
Les Chinois, propriétaires réels de ces oeuvres peuvent donc s'en emparer légitimement à tout moment légitimement et j'espère bien que les filous de "Christie" seront poursuivis en Chine par des tribunaux populaires pour recel.
Ce ne serait que justice !
Il s'agit en autres de ces
deux têtes d'animaux en bronze arrachés en Chine lors d'une expédition coloniale digne de ce qui s'est passé en Europe au milieu du siècle dernier, pour obliger l'Empire du Milieu à se livrer au trafic de l'opium. Une ignominie des puissances occidentales qui galvaudent tellement les droits de l'homme tous les jours sur leur propre territoire.
Cette vente au grand Palais, à l'heure d'une crise financière et économique mondiale qui est le fruit de l'avidité des grands de ce monde est plus qu'indécente elle est délictueuse. Car ces vendeurs masqués, qui, en grande partie, font partie des fauteurs de crise savent bien que ce qu'ils font, au regard de la solidarité humaine est une turpitude. En dépensant en ces enchères des sommes manifestemet excessives, ils volent en droit et justice la communauté humaine.
Mais par l'abdication des états à faire payer un impôt proportionnel à la richesse de chacun, comme en particulier en France à travers le dégoûtant bouclier fiscal imaginé par un président voyou, des fortunes colossales et immorales se sont constituées qui se moquent bien de la crise et sont un injure vivante aux millions de gens qui sur cette terre n'ont pas "une pierre où reposer la terre."
Si un nouveau Lénine dépouillait demain ces voleurs du peuple pour permettre à chacun de recevoir un vrai minimum vital j'applaudirais des quatre mains.
Je considère donc que les oeuvres d'art vendues et achetées, au Grand Palais pour des profits privés ou des coffres bancaires, ont été volées à la communauté humaine.
Monsieur Berger dit bien qu'il va consacrer une partie des fruits de la vente à la recherche contre le Sida. Combien, SVP ?
Quant aux deux bronzes chinois, le marché qu'il a proposé au peuple chinois est d'une indécence rare. Je persiste à penser que Pekin respecte infiniment mieux les thibétains, entre autres en les libérant du Moyen âge religieux que les Colonialistes en Chine qui étaient voleurs et massacreurs.
Celui ou ceux qui ont acheté ces oeuvres sont des recéleurs d'un bien qui appartient au peuple Chinois et non à Pierre Berger, n'en déplaise à un juge indigne.
Les Chinois, propriétaires réels de ces oeuvres peuvent donc s'en emparer légitimement à tout moment légitimement et j'espère bien que les filous de "Christie" seront poursuivis en Chine par des tribunaux populaires pour recel.
Ce ne serait que justice !