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Publié par YVAN BALCHOY

 

Le vent qui vente

Est à ma porte

Qui pleure

Comme une âme morte.

 

Ouvrez-moi, au nom de Dieu,

Je vois chez vous lueur de feu

Je voudrais me chauffer un peu.

 

Alors, j'ai dit à la servante :

"Annick, ouvrez au Vent qui vente

 

Et le Vent qui vente est entré

Et devant l'âtre vénéré,

Doucement il a soupiré."

 

 

 

 

J'ai appris ce poème à l'école lors de mes treize ans.

Je n'en connais pas l'auteur dont je vous aurais volontier cité le nom.

Mais je n'ai pas oublié ce texte que j'ai troujours aimé, comme le Vent...

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