03-11-23- ISRAEL, PALESTINE, GAZA PARLONS-EN !
COMMEMORATION DE L'OCCUPATION A LA BOURSE DE BRUXELLES - ENFANT PALESTINEN ASSASSINE PAR LA MARINE SIONISTE - FUITE DE PALESTINIENS LORS DE LA SINISTRE NAABKA EN 1948
LA NAABKA : 800 000 PALESTINIENS EXPULSES SOUS PEINE DE MORT DE LEURS TERRES - QUELQUES MASSACRES DONT CELUI DE SABRA ET CHATILA (DES MILLIERS DE MORTS DANS DES CIRCONSTANCES UN PEU SIMILAIRES AU MASSACRE ACTUEL DES KIBBOUTSIM. DES JOURNALISTE JUIFS HONNETES RECONNAISSENT L'HISTORICITE DES FAITS.
Israël : nouvelles révélations sur les massacres de Palestiniens lors de la Nakba en 1948
Des procès-verbaux d'origine israelienne officiels récemment rendus publics décrivent trois massacres avec force détails macabres
Des membres du groupe paramilitaire de la Haganah escortent des Palestiniens expulsés de Haïfa après la prise de contrôle par les forces juives en avril 1948 (AFP)
Published date: Lundi 13 décembre 2021 - 12:08 | Last update: 1 year 9 months ago
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Des documents récemment découverts mettent en lumière le massacre de Palestiniens pendant la guerre de 1948 qui a conduit à la création de l’État d’Israël.
D’après des lettres de soldats, des mémoires contemporains inédits, des procès-verbaux de réunions de partis politiques et d’autres documents historiques, Haaretz et l’Akevot Institute for Israeli-Palestinian Conflict Research révèlent les détails de trois massacres commis par les forces israéliennes dans les villages de Reineh, Méron et al-Bur ; il y en eut surment d'autres.
Lifta, village palestinien dépeuplé lors de la Nakba, à nouveau menacé par les projets israéliens
Lire
Ces documents montrent par ailleurs que d’importants dirigeants israéliens « étaient au courant en temps réel des événements sanglants qui ont accompagné la conquête des villages arabes ».
Au cours des événements que les Palestiniens appellent Nakba (« catastrophe »), les soldats israéliens ont tué des Palestiniens ou les ont chassés de leurs terres.
En octobre 1948, les forces israéliennes composées de milices sionistes comme la Haganah, le Léhi et l’Irgoun ont lancé deux offensives dans le sud et le nord de la Palestine sous mandat britannique.
La première, l’opération Hiram, a balayé la Galilée en trois jours, jusqu’à atteindre des villages au Liban. La seconde, l’opération Yoav, s’est déroulée dans le sud du pays.
Pillage et tuerie à Reineh
L’occupation de la Galilée a entraîné l’expulsion de la moitié de sa population palestinienne et la fuite de celle-ci vers la Syrie, la Jordanie et le Liban.
Il ne restait que 120 000 Palestiniens dans la région, où de lourdes batailles se sont poursuivies entre une armée de volontaires connue sous le nom d’Armée du Salut et les milices sionistes.
Ce que les combattants juifs de 1948 disent sur la Nakba
Les archives historiques israéliennes révèlent que quatorze Palestiniens ont été massacrés en septembre 1948 dans le village galiléen de Reineh, près de Nazareth.
Reineh est tombée aux mains des forces israéliennes en juillet 1948. Selon Haaretz, l’un des quatorze Palestiniens tués, Yusuf al-Turki, était membre de l’Alliance des travailleurs de la Terre d’Israël. Cela n’a pas suffi à l’épargner.
Turki, ainsi qu’une bédouine et plusieurs personnes, a été arrêté près de Reineh, accusé d’être un passeur, puis tué, révèlent les procès-verbaux des archives israéliennes.
Mais Reineh n’a pas été le seul massacre.
Al-Burj
Hajj Ibrahim était un Palestinien qui travaillait dans une cuisine militaire appartenant aux forces israéliennes à al-Burj, une ville palestinienne occupée par Israël en juillet 1948 à une quinzaine de kilomètres à l’est de Ramla. Aujourd’hui, la colonie de Modiin se dresse à sa place.
Un document, dont l’auteur est inconnu, révèle la mort horrible de Hajj Ibrahim ainsi que celle d’« une vieille femme malade et d’un autre vieil homme et d’une femme ».
La Nakba : un crime observé, ignoré mais pas oublié
Ilan Pappe
Les soldats israéliens ont demandé à Hajj Ibrahim d’aller chercher des légumes afin qu’il ne soit pas témoin de ce qui allait se passer, « les trois [Palestiniens] ont été emmenés dans une maison isolée ».
« Puis, un obus antichar a été tiré [sur eux]. L’obus ayant raté la cible, six grenades à main ont été lancées dans la maison. Ils ont tué un vieil homme et une femme, la vieille femme a été exécutée par arme à feu », précise le document.
« Ensuite, ils ont incendié la maison et brûlé les trois corps. Lorsque Hajj Ibrahim est revenu avec son escorte, on lui a dit que les trois autres avaient été envoyés à l’hôpital de Ramallah. Apparemment, il n’a pas cru à cette histoire et, quelques heures plus tard, il a été exécuté lui aussi, de quatre balles. »
Mont Méron
D’autres atrocités contre les Palestiniens sont dévoilées dans un document rédigé par Shmuel Mikunis, un membre communiste du Conseil d’État provisoire (qui deviendra la Knesset), demandant des éclaircissements au Premier ministre David Ben Gourion sur les actes commis par les milices de l’Irgoun.
Il s’agit notamment du meurtre de trente-cinq Palestiniens après qu’ils eurent hissé un drapeau blanc ; l’arrestation de civils palestiniens (dont des femmes et des enfants) qui ont été obligés de creuser une fosse, y ont été poussés, puis abattus ; le viol d’une jeune fille par des membres de l’Irgoun ; et le meurtre de treize ou quatorze enfants palestiniens qui jouaient avec des grenades.
Ben Gourion, le premier Premier ministre d’Israël, est resté évasif. Dans la même question parlementaire, Mikunis a fourni une description détaillée de deux massacres commis en l’espace de deux jours dans le village libanais de Hula.
Traduit de l’anglais (original) par VECTranslation.
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Richard Falk
AUJOURD'HUI
Les enfants de Gaza paient un très lourd tribut, avec des centaines de morts
POSTÉ LE 13 OCTOBRE 2023
Résumé des propos de James Elder, porte-parole de l’UNICEF – à qui toute citation peut être attribuée – lors de la conférence de presse s’étant tenue aujourd’hui au Palais des Nations à Genève.
Genève, le 13 octobre – « Des centaines et des centaines d’enfants ont été tués et blessés. Chaque heure à Gaza, le nombre d’enfants tués augmente. Le meurtre d’enfants doit cesser.
Les images et les récits sont sans équivoque : les enfants souffrent dans leur chair suite aux blessures causées par les tirs de mortier ou l’amputation de leurs membres. Et les hôpitaux sont totalement débordés pour les soigner. Malheureusement, les chiffres ne cessent d’augmenter.
Les enfants israéliens retenus en otage à Gaza doivent être réunis immédiatement et en toute sécurité avec leurs familles et leurs proches.
La situation humanitaire a atteint un niveau catastrophique, et pourtant tous les rapports font état de nouvelles attaques. La compassion – et le droit international – doivent prévaloir.
L’UNICEF demande un cessez-le-feu immédiat alors que 1,1 million de personnes – dont près de la moitié sont des enfants – ont été appelées à se mettre à l’abri avant ce qui devrait être un assaut terrestre sur l’un des endroits les plus densément peuplés de la planète, mais où les civils ne peuvent aller nulle part en toute sécurité.
Ce sont les enfants qui souffrent le plus
Les enfants et les familles à Gaza sont presque à court de nourriture, d’eau, d’électricité, de médicaments et d’un accès sûr aux hôpitaux, suite à plusieurs jours de frappes aériennes et à la fermeture de toutes les voies d’approvisionnement.
L’unique centrale électrique de Gaza s’est retrouvée à court de carburant mercredi après-midi, ce qui a entraîné la coupure de l’électricité, de l’eau et du traitement des eaux usées. La plupart des habitants ne peuvent plus s’approvisionner en eau potable auprès des fournisseurs de services ou en eau à usage domestique par le biais des canalisations.
Au moins six puits, trois stations de pompage, un réservoir d’eau et une usine de dessalement desservant plus d’un million de personnes ont été endommagés par les frappes aériennes.
Les humanitaires doivent pouvoir accéder en toute sécurité aux enfants et à leurs familles pour leur apporter des services et des fournitures vitales, où qu’ils se trouvent.
Dans toutes les guerres, ce sont les enfants qui souffrent le plus. Cela est tragiquement vrai aujourd’hui. »
ASSSASSINATIONS, EXPULSIONS DES BEDOuINS ET PALESTINIENS EN CISJORDAQNIE COEUR DE LA PALESTINE
Guerre Israël-Palestine : des colons menacent les enfants de Cisjordanie avec des poupées ensanglantées
Les propositions visant à repousser les Palestiniens de Gaza vers l’Égypte alimentent la peur du remplacement par des colons
Le refus de l’Occident d’appeler à un cessez-le-feu est un blanc-seing au nettoyage ethnique de Gaza
Richard Falk
Bien entenu Europe 1, LCI et surtout le media raciste CNEWS made in Israël ? ne vous parleront que du vrai massace dans les kibboutsim proche du camp de ceoncentration de Gaza, ce qui ne me semble pas une bonne idée. Ce massacre égale en férocité cequ'israéliens et faux chrétiens du Liban ont infligé aux Palestiniens à Sabra et Chatilaet tou au long de la Naabka.
A ce propos, je voudrais rappeler que notre seule souce sur le massacre des Kibboutsim est Ta'hal qui a interdit aux journaliste de se rendre sur place au moment du massacre. Quand ils parlent de 1400 victimes innocentes tiennent-ils compte des nombreux courageux militaires qui ont combattu les massacreurs et aussi des colons armés qui ne sont plus des civils mais des combattants.
Il est de bon tgon de parler du droit que je reconnais bien sûr d'Israel à se défendre comme un armée régulière mais pourquoi ne parle-t-on quasi jamais du droit des Palestiniens occupés illégalement à se défendre en Cisjorddanie qui leur appmartien exclusivement et à Jérusalem capitale de la Palestine.
Posedz la questions aux médiamenteurs de CNEWS.