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Publié par YVAN BALCHOY

09-10-22- JACQUES BREL NOUS QUITTAIT LE 9 OCTOBRE 1978...

 

Dominique David
anniversaire émouvant, mais pour moi, il ne m'a jamais quitté! Je l'écoute toujours avec une grande émotion, et quand je le vois en vidéo je suis subjugué par son jeu de scène! Jacques Brel est un cadeau pour nous tous.

Marie-ange Manzanera
J'adore ces œuvres et le personnage qu'il était🙏 Unique dans son genre♥

Simone Paulin
Il est toujours dans notre 💙
Répondre1 h
Monique Moons Rodriguez
Toujours présent, avec ses textes. Un Grand !
Répondre1 h
On Mohamed
Le fameux artiste c'est vraiment unique leurs chansons nous amènent à un autre monde d'amour et de sérénité❤

Idir Mecheddal
Je n'avais que douze ans et pourtant, je m'en souviens comme si c'était hier !
Enfin, disons avant-hier.
Mais un tel talent, même après quarante-deux ans d'absence, reste toujours aussi présent dans nos cœurs et dans nos têtes. 🥰🙏
 

Claudia Scemama-Saal
J’ai assisté à cette soirée à l’Olympia , il revenu en peignoir de bain , personne ne voulait quitter la salle, plus d’une heure debout à l’applaudir avec des briquets allumés , moi en larmes parce qu’il ne reviendra plus sur scène , c’est un maestro ,, un génie ,un maître enfin tout

 

Yvan Balchoy

Je me rappelle, je vivais alors, rue Roger Radisson à Lyon à deux pas de la Basilique de Fourvière; J'y étudiais avec des frères venus du monde entier la théologie à la Catho

C'était le moment de détente juste après le repas de midi. Il y a un vieux poste de radio peu écouté habituellement. Je me trouvais juste à côté.

Brusquement je compris qu'un chanteur génial, mieux un frère  nous était donné.

De plus, en exil studieux dans cette belle ville de Lyon qui reste si cher à mon coeur, je ne pus que ressentir un instant de fierté en apprenant que ce jeune artiste si authentique venait de mon plat pays.

A cette époque, certaines de ses premières chansons l'avait fait appeler ""l'Abbé Brel" car il parfait souvent, pas toujours en accord, avec cet évangile dont il disait "C'est tellement beau quand on croit que c'est vrai" avec une certaine nostalgie dans la voix.

Ce jour-là j'essayé de partagé ma joie et mon enthousiasme avec mes frères de Saint François, mais la plupart me rabrouèrent. "une chanson d'amour de plus".

 Manifestement comme dans une autre chanson de notre Jacques, "les fenêtres du coeur se fermèrent "comme une porte entre morts et vivants.".

 J'eus alors,  l'impression, vraie ou fausse, jamais quittée, que Jacques, blessé par la médiocrité de l'église de sa jeunesse n'était pas indifférent face au  message de l'Homme de Nazareth.

C'est aussi à Lyon, que j'assistant bien plus tard - quelle joie - à un récital de ce Grand Jacques qui reste  et restera jusqu'au bout de ma vie, un vrai compagnon de route.."

Yvan Balchoy


 

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