14-02-22- UNE "NEUTRALISATILON" LACHE OU COURAGEUSE, "JE N'AI PAS LE COEUR A LE DIRE !"
Gare du Nord : un homme armé d’un couteau tué par des policiers
Les policiers ont « fait usage de leur arme » face à un homme menaçant, armé d’un couteau, « écartant ainsi tout danger », selon Gérald Darmanin
"Le préfet de police Didier Lallement salue le courage des policiers qui, à la Gare du Nord, ont su réagir avec sang-froid à une lâche attaque", indique la préfecture de police de Paris sur Twitter.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/coups-de-feu-gare-du-nord-un-homme-avec-un-couteau-neutralise
L'homme est connu pour déambuler dans cette gare. Pour l'instant la piste terroriste n'est pas retenue.
ttps://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/coups-de-feu-gare-du-nord-un-homme-avec-un-couteau-neutralise
L'homme qui était en arrêt cardio-respiratoire est mort. Il avait été pris en charge sur place, a appris France Télévisions de source policière. Les policiers de la brigade des réseaux ferroviaires (BRF) ont fait trois tirs de riposte.
IDEM
NOTE D'YVAN BALCHOY
Ce ne serait donc pas un acte terroriste ! Serait-ce l'acte d'un déséquilibré?
Dans le contexte sécuritaire actuel, le citoyen qui ne souhaite pas une police municipale surtout armée est presque considéré comme un incongru
Il me semble qu'avec une formation morale à l'ancienne, des policiers auraient tout fait pour garder vivant cet homme à la portée de leurs nombreuses armes, en le blessant si nécessaire sans lui ôter la vie
Dans la nouvelle république, celui qui ose s'en prendre à des policier, à ses risques et périls, mérite, semble-t-il pour un Ministre de l'Intérieur ou un préfet de Paris qui n'est pas du bord des petites gens - il l'a dit - non pas la "mort",mot interdit mais la "neutralisation" terme hypocrite qui est le nouveau substitut d'exécution.
Dans ce cas, si vraiment l'individu était sur le point de tuer un civil innocent, un policier présent avait le droit et même le devoir, après la mise en garde légale ce qui, semble-t-il fut fait, avant de lui ôter la vie, de tenter de le blesser aux jambes ou ailleurs.
Est-ce qu'on enseigne encore aux forces de l'ordre de ne tuer que quand c'est nécessaire.
Je n'ai pas le droit de condamner dans ce cas précis des policiers acculés à l'acte qu'ils ont accompli peut-être contre leur volonté mais j'en veux à ces deux hautes personnalités, pour qui, c'est manifeste, cet incident est un petit fait divers, la simple neutralisation d'un individu hostile ou simplement dérangé.
Je continue à regretter que cette attaque se soit terminée ainsi et que, même blessé, cet agresseur ne soit emprisonné ou bien si nécessaire ne reçoive des soins dans un asile psychiatrique. (YB)