26-01-22- SUR EUROPE 1, SOUS LA PRESSION DU SIEUR BOLLORE, MULTIPROPRIETAIRE NOUS SERT-ON ENCORE LA VERITE DES FAITS ?
Du lundi au vendredi à partir de 18h devenu un rendez-vous incontournable du paysage audiovisuel, l'émission de David Pujadas continue pour la quatrième année consécutive de vous proposer de mieux comprendre l'actualité ; un rendez-vous présenté le vendredi par Amélie Carrouër. Une émission divisée en deux parties : Le Club Pujadas, où quatre de ses membres débattront des sujets du jour, avec la participation tous les mardis de Caroline Fourest. Sans oublier Les Indispensables, une rubrique pour revenir aux faits, les faits rien que les faits, et éclairer le débat. Les Partis Pris, ensuite, s’articulant autour de grandes signatures telles que Jean-Michel Aphatie, Abnousse Shalmani, François Lenglet ou encore Pascal Perri. Politique, économie, relations internationales, phénomènes de société et nouvelles tendances, les éditorialistes donnent chacun, dans leurs domaines de prédilection, leurs points de vue sur des sujets du moment.
https://www.lci.fr/emission/24h-pujadas-
NOTE D'YVAN BALCHOY
Monsieur Pujadas aime bien affirmer que son émission ne parle que des faits mêmes quand quotidiennement il les travestit à partir de son idéologie de droite répétant la voix de son nouveau maître monsieur Vincent Bolloré qui croit que ses millions bien ou moins bien acquis lui donnent le droit de contrôler l’information en France, sa culture, sa politique au travers de journalistes-polémistes qui comme Madame Sonia Mabrouk ou plus récemment Matthieu Bock-Coté, émigré du Québec, qui chaque matin presque nous assène sa carte blanches qui portent très bien son nom..
Je voudrais aujourd'hui démonter un parti-prix récent de Michel Apathie qui a caricaturé injustement la politique russe.
Ce pays tout d’abord a autant de raison, je crois, de ne pas désirer l’arrivée, a ses frontières, dans une Ukraine, plutôt ambigüe de forces-armées de l’OTAN dont je n’ai pas oublié qu’elle a assassiné autrefois des journalistes à Belgrade et privé un état européen d’une de ses provinces-mères pour y installer un pouvoir souvent mafieux.
Pourtant Monsieur Macron récemment nous a encore répété l'intangibilité des frontières de l'Europe. Ceux qui ont poussé la Yougoslavie à se démembrer, en particulier l;Allemagne ont aussi leur part de responsabilité aux guerres qui en ont résulté.
Je sais qu’il est de bon ton en Europe "libérale" de déblatérer l’Union soviétique et le généralissime Staline, mais 63 % des anciens soviétiques, citoyens actuels de la Russie, regrettent l’époque de la Grande Union et son chef qui a su galvanisé l’armée rouge pour la mener aux portes de Berlin, ce dont je continue comme en 45 Churchill la faisait, à le féliciter.
Monsieur Apathie ne pouvait pas en rester là. Pour plaire non à la vérité mais à l’attente de qui le paie, il a fallu présenter comme un fait établi et reconnu par le gouvernement Chinois la détention de millions de ouïghours, alors que des touristes occidentaux ont visité cette région, qui économiquement se porte très bien sans rien découvrir de cette prétendue maltraitance.
A ce monsieur «qui sait tout» je voudrais demander ce que serait la Chine aujourd’hui sans Mao et le communisme à la mode se ce pays qui en font la quasi première puissance du monde, sans comme les américains, fomenter un peu partout des coup d’état mortifères.
Je ne dis pas que tout est parfait dans la Chine d’aujourd’hui mais en tout cas ses citoyens voient bien combien leur situation a changé de tout en tout depuis que leur état, si bien décrit autrefois dans "LE LOTUS BLEU" d’Hergé est devenu la République populaire de chaine, mot détesté évidemment par ces journalistes se croyant au-dessus d'un peuple que du haut de leurs privilèges, ils méprisent.
Le plus grave, c’est que Monsieur Apathie a voulu égrener les grands scandales et injustices de notre monde en évitant sciemment bien sûr, comme la plupart des médias soumis en France de citer les crimes commis dans un état, auquel je préfère donner de Sionie qui non satisfait d’avoir reçu des vainqueurs de la dernière guerre une terre prétendument sans peuple pour remplacer un peuple réellement sans terre, grignote jour après jour et rend la vie impossible au peuple Palestinien en le pillant et en le persécutant sur son territoire.
On aurait du donner aux Juifs un juste état sans spolier un autre peuple qui n’était pour rien dans leur malheur. C’était à l’Allemagne de céder une part de son territoire en faveur des victimes de la Shoah.
L’occupation illégale de la Palestine par la Sionie, le meurtre de ses citoyens, y compris des résistants aussi honorables que les nôtres, la destructions de villages arabes et de leurs cimetière qui partout ailleurs aurait été traité d’outrage terroriste ,il n'en n'a pas été question dans ce parti-prix à géométrie variable.
Je sais que pour le CRIF et pour les béni-oui oui de son communautarisme, ces propos me feront traiter d’antisémitisme mais pourquoi mettre ce mot victimaire, seul en exergue, à part des millions d'autres autochtones victimes en autres des Européens au sein de leur colonies dont les Etats-Unis d’Amérique.
Parlons plutôt universellement de racisme et jugeons les faits sous leur horreur réelle, sûrement du plus haut degré quand les nazis ont voulu massacrer le peuple Juif.
Mais les victimes d’hier n’ont pas le droit de devenir bourreaux aujourd’hui, même si je ne confonds pas totalement la sinistre Naabka avec le génocide de la Shoah.
Monsieur Apathie, tant que vous choisirez vos victimes selon vos préférences politiques, vos parti-prix ne seront en rien crédibles. Hier si vous aviez mentionné l’atteinte aux droits du peuple Palestinien, on vous l’aurait reproché en haut lieu, mais vous auriez honnêtement accompli votre devoir de journaliste.
Non je n’ai, non plus confiance en la vision économique des François Lenglet et Pascal Perri, docteurs de la soit-disant science économique, qui savent pourtant mieux que personne qu’augmenter le SMIC des travailleurs exploités ou augmenter les impôts des plus riches, un acte de justice élémentaire ne plairait pas aux propriétaires de leur Media.
Quant à Madame Abnousse Shalmani, comme beaucoup d'exilées politiques, avec son sourire moqueur elle travestit souvent la réalité internationale en nous décrivant à l'excès sa traduction libéralo-capitaliste, qui la dénature.
Yvan Balchoy