Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Archives

Publié par YVAN BALCHOY

Thiérry Mariani

Thiérry Mariani

Ce matin, sur Europe 1, interview de Thierry Mariani, transfuge du parti des républicain, celui des inégalités sociales et de l'ordre qui les conforte passé au parti de Madame Le Pen qui y ajoute l'apologie du racisme nationaliste assaisonné depuis peu d'un zeste de social.

Comme nos média sont de plus en plus unis comme cul et chemise au parti invertébré dit en marche, réellement en recul qui ne pense plus qu'à la réélection, quel qu'en soit le prix, de l'ancien Banquier de Rothschild en 2022.

Il n'est pas facile d'opposer la politique de droite qui est celle menée tambour battant par la France actuelle qui a bien de la peine à se distancer de ce parti de l'injustice sociale que sont les prétendus républicains et celui dirigé à l'Assemblée nationale et représenté à l'Intérieur par des personnalités au passé plutôt trouble.

Bien entendu Mariani a défendu la gestion des quelques cités dirigées par le Front National, garantissant par exemple de maintenir à sa place la culture. Mais lui qui n'est pas encarté au parti a-t-il le poids de résister aux vieil appareil du FN toujours très actif.

A propos de la politique vaccinale, commenté à propose de la proposition de Monsieur Biden de mondialiser en un sens les brevets des vaccins pour assurer une campagne mondiale plus sécurisée et les nuancés ajoutés par monsieur Macron qui, n'oubliant pas son métier essentiel, fait tout son possible pour garantir la propriété individuelle des labos tout en étant obligé d'ouvrir une perspective lointaine à la proposition états-unienne.

En tout vas, Monsieur Mariani, fidèle quoi qu'il dise au FN le plus traditionnel ne veut bien entendu que la France ne distribue des vaccins à défaut des siens au Tiers monde que lorsque l'ensemble de la population française aura été vacciné, ce que;les USA ont fait.

Politique de l'autruche qui ne voit qu;elle prolongera très longtemps la crise du covid 19 et causera la mort de millions de personnes.

Le débat devint plus conflictuel quand, fidèle aux pires injonctions de l'Union Européenne et de l'OTAN face à monsieur Navalny, cet escroc russe mainte fois condamné pour escroquerie aussi imbuvable que sa copie conforme du Venezuela, Guaino, reconnu par l'Europe simplement pour son americanisme. Monsieur Mariani n'a pas succombé aux pièges perfides des pseudo-journalistes d'Europe 1 et a défendu à juste titre la validité de l'arrêt modéré (si on le compare à celui du lanceur d'alerte Assange au pays de sa pas si gracieuse que soit Majesté) 2 ans pour Monsieur Navalny.

Bref, le débat entre les divers droites à travers Monsieur Mariani, n'a révélé que la mauvaise foi de plusieurs partis pour qui le dogme de la coexistance des riches et des pauvres est ciment essentiel de la société qui a pour mission de l'ordonnancer pour qu'elle s'impose, militari ou poliiy manu, aux plus pauvres.

Au terme de ce terne débâti, j'ai mesuré l'absence et ses conséquences désastreuses d'une gauche dont la mission essentielle est la création d'une société juste de haut en bas grâce au respect du travail de chacun et l'aide d'un État dont la mission est aussi de permettre aux plus faibles de s'en sortir eux aussi.

A longue échéance, la querelle entre gauche et d'autre, que des chaînes comme Europe 1 croient disparue à jamais, reviendra car elle pilote l'essentiel et le meilleur de l'humain écartelé entre le désir de domination et d'exploitaton d'une minorité favorisée et ses satellites contristes et le besoin de justice et de vraie égalité qui défini la gauche et les mouvements de gauche.

Et s'il fallait parier sur l'avenir ultime de notre humanité je ne parierais pas dix kopeck que l’égoïsme collectif personnalisé par les mouvements de droite ne fasse le poids devant  la fièvre révolutionnaire qui, tant de fois dans le passé depuis l'Homme de Nazareth jusque Jaurès à remis la pendule sociale de la justice à l'heure.

 

Yvan Balchoy

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article