01-04-21- UNE SOCIETE SANS EXPLOITATION SELON LE P.T.B.-. P.V.D.A. (PARTI DU TRAVAIL DE BELGIQUE
Hier après-midi, j'ai participé avec environ 18 camarades à une réunion de réflexions et d'échanges critiques au noble sens de ce mot sur la brochure :
UN PARTI DE PRINCIPES
UN PARTI SOUPLE
UN PARTI DE TRAVAILLEURS
PTB
Notre groupe bien équilibré en hommes-femmes ainsi qu'au niveau international (Argentine, Rwanda, Yougoslavie, Espagne, Grèce ) a réagi de façon très active mais aussi constructive davant les décisions du !ème congrès du Parti qui vient de se terminer.
Chacun a pu s'exprimer librement à partir de sa position de "vieux" militant du parti ou au contraire de jeune sympathisant(e) venu(e) avec son enthousiasme et ses points d'interrogations.
Au sein de ce parti qui est tout sauf la sorte de "secte politique" à laquelle une certaine presse tente de nous assimiler, le respect de l'avis de chacun, une grande flexibilité sur la manière de se mettre au service des travailleurs en tenant compte des circonstances locales et une fermeté quant aux principes marxistes, donnent une efficacité enthousiaste que j'ai particulièrement trouvée dans les sections de la Médecine pour le Peuple.
Bref, cette réunion a tout à fait répondu à mes attentes concernant le congrès, m'a permis d'exprimer mon avis et il me semble que c'est aussi l'avis de l'ensemble des participants grace en autres à la manière souple et bien préparée de la camarade qui nous a aidé en cette réflexion.
Je vous livre ici un tout petit extrait significatif de cette brochure qui, mieux que mes mots vous fera sans doute comprendre comment le PTB analyse notre société pour mieux la transformer.
Une société sans exploitation
D’après l’agence alimentaire des Nations Unies, la terre est en mesure aujourd’hui de nourrir tous ses habitants et de façon durable. Pourtant 842 millions de personnes connaissent une sous-alimentation chronique et 2 milliards n’ont aucune sécurité alimentaire. Toutes les 3,6 secondes, un enfant meurt. Éradiquer la faim coûterait 24 milliards de dollars, soit même pas un dixième de ce que coûte la guerre contre l’Irak.
En deux ans, au Venezuela, &,5 millions de personnes ont appris à lire et à écrire avec l’aide d’enseignements cubains et du programme « Yo, si puedo ! » (Oui, je peux y arriver) Pourtant, ce modèle n’a pas été mondialisé. Au contraire, dans le monde entier, des écoles publiques ferment et l’enseignement devient plus cher. Un cinquième des adultes de la planète ne peuvent ni lire ni écrire.
L’informatique et la robotisation sont d’excellents moyens d’alléger le travail, d’avoir une journée de travail moins stressante. Pourtant, c’est le contraire qui se produit : ceux qui travaillent doivent travailler plus dur, de façon plus flexible et plus longtemps.
Le développement d’énergies renouvelables et leur utilisation rationnelle devraient être une priorité pour tous les gouvernements. Il y a un énorme besoin d’argent pour la recherche dans ce domaine. Pourtant la puissance la plus forte du monde sur le plan technologique, les États-Unis, préfère injecter des milliards de dollars dans une industrie militaire qui menace l’homme et la planète.
La mondialisation actuelle n’apporte aucune solution. Bien au contraire, on assiste à la mondialisation du profit maximum. Elle menace l’homme et la planète.
Nous voulons un autre monde, un monde socialiste (1) : sur les plans économique, politique et éthique.
(1) Rien avoir avec nos partis sociaux démocrates qui ne tentent plus que d’aménager le capitalisme.
Si vous vous intéressez à ce parti qui ne ressemble guère à ceux qui remplissent les pages de nos quotidiens, je suis bien sûr à votre disposition mais mieux vaut, me semble, les contacter directement
au +32 2 5040110 (025040110 en Belgique)
ptb@ptb.be
www.ptb.be
171, bd. Lemonnier, Bruxelles, Belgique.