26-06-20- LES EDITORIALISTES DE LCI A LA HAUTEUR DE LEUR MAUVAISE REPUTATION APRES L'EXPOSE DU PROFESSEUR RAOULT (YB)
Il y a peu de jours, brillant exposé de trois heure du professeur Raoult qui a présenté devant les députés son action face au Coronavirus en défendant son recours à l'hydroxychloroquine comme remède potentiel.
Personnellement, je trouve que le professeur Raoult, conscient certes de la valeur de sa carrière professionnelle partagée même sa beaucoup de ses contradicteurs a répondu avec clarté et honnêteté, je pense, à un faisceau incroyable de questions plutôt bienveillantes, de la part de parlementaires qui contrairement aux journalistes m'ont paru avoir une vision positive de l'action du médecin Marseillais.
LCI qui avait transmis l'évènement a voulu bien entendu, dès sa conclusion, échanger avec quelques invités et ses journalistes attitrés de la valeur et de l'efficacité des réponses du professeur Raoult.
Ce fut un réquisitoire aussi méchant que bête ou Roselyne Bachelot, celle qui a voulu faire de notre hôpital public une entreprise comme si un établissement de santé avait pour vocation de gagner de l'argent. Qu'elle tente de nous faire sourire aux variétés, elle a fait assez de dégâts dans le monde de la santé.
Quant à l'économiste Perri, une des âmes damnées de la chaîne, il est évident qu'une personnalité indépendante comme le docteur Raoult qui de plus a mis le doigt où ça fait mal pour tout qui, et c'est quasi général à LCI, n'est pas d'accord avec le Figaro est à rejeter ce qu'il a fait en faisant tout pour le décrédibiliser.
Bien sûr, Madame l'ex Ministre Pharmacienne et le triste myope du Perriscope sont trop avide de profit, seule but économique à préserver, pour approuver un professeur qui ne semble pas croyant du libéralisme et du capitalisme.
Les députés ont été bien plus bienveillants et les travailleurs qui n'ont pas envie de devenir capitalistes mais veulent seulement gagner mieux leur vie se sentiront plus protégés par le professeur de Marseille que par ce économistes qui ne pensent qu'à se remplir leurs poches;
Yvan Balchoy