25-02-20- MADAME BUZYN OUBLIANT SON ABANDON DE POSTE EN PLEINE BATAILLE FAIT UN MAUVAIS PROCES A LA MAIRE DE PARIS
A la mairie de Paris, les trois principales candidates ont pu ou pourront s'exprimer à Europe 1. Ce n'est pas par hasard, que Madame Dafi, dont la candidature m'écœure par ses antécédents sinon judiciaires au mois douteux. La future maire de Paris doit être au dessus de tout soupçon au niveau de son appétence à l'argent et et n'en suis pas persuadé.
Madame Busyn donnait l'impression d'être une ministre de la santé solide et attachée à sa fonction. Il a fallu que monsieur Griveaux comme un adolescent en crise,fasse une imprudence qui n'est sans doute plus illégale mais reste impardonnable quand on ambitionne un poste tellement sensible à l'opinion publique comme la mairie de Paris
Un exemple entre beaucoup de l'impréparation de la France et probablement aussi de mon pays au coronavirus, c'est l'impossibilité pour moi qui, par mon âge, suis une vkictime plus que potentielle de cette maladie d'obtenir un masque protecteur en une pharmacie.
Madame Busyn, de bon ou de mauvais cœur a préféré faire plaisir au pouvoir politique qu'à sa charge si cruciale en cette crise virale mondiale, , elle ne dev rait pas en être récompensée, selon moi.
Reste la Maire actuelle de Paris, Anne Hidalgo, qui a dirigé sa ville avec une logique certaine, s'opposant avec l'aide de son allié écologique au tout-auto trop polluant aujourd'hui.
La piétinisation des voies des berges, très critiquée au moment de la décision semble bien acceptée par les Parisiens.
La propreté de Paris est sans doute un moins bon point pour la candidate socialiste. En revanche, je la suis totalement dans son refus d'armer d'armes léthales une police municipale crée pour compléter et non remplacer la police nationale.
Elle est de gauche et le reste, c'est pour moi un raison de plus d'approuver sa réélection à laquelle bien sûr, je n'ai aucun droit. Quant aux mesdames Dadi et Busyn, pour les raisons élaborées plus haut, je ne les choisirais sûrement pas. Mais c'est aux Parisiens et non à Monsieur Macron ni aux responsables des médias asservis qu'il incombre de choisir celle qui demain sera, je l'espère, le meilleur atout pour la capitalke française.
Yvan Balchoy