L'ARTICLE DE WILKIPEDIA SUR LA PALESTINE N'EST RIEN D'AUTRE QU'UN PAMPLET GROSSIER ET MENSONGER SUR L'OCCUPATION ILLEGALE DE GAZA, DE LA CISJORDANIE ET DE JERUSALEM EST PAR LES SIONISTES QUI ACTUELLEMENT ONT LE POUVOIR DANS LA PSEUDO-DEMOCRATIE D'ISRAËL (YVAN BALCHOY)
Ce matin j'ai lu attentivement l'article de Wikipédia sur la Palestine et quel ne fut pas mon étonnement de constater qu'il épouse étroitement les thèses sionistes les plus excessives pour justifier " ad vitam eternam" la mainmise scandaleuse du gouvernement raciste et apartheidiste sioniste que je ne confonds pas avec l'état légitime d'Israël dans ses frontières reconnues par l'ONU en 1948.
Aujourd'hui Israël mène une politique criminelle à l'égard des Palestiniens qui résistent à juste titre contre l'occupation de leur patrie par un autre état qui occupe leurs territoires
. Le gouvernement Israélien, présidé par le criminel de guerre Netanyahou tue presque quotidiennement des jeunes qui LEGITIMEMENT lui résistent à l'instar de Jean Moulin, Guy Môquet et tant d'autres morts qui honorent la France
. Celle-ci , si attentive à juste titre à défendre sa résistance se tait lâchement devant des attaques criminelles, parfois à la limite du génocide, puisqu'elle réclame l'élimination de la totalité des Palestiniens de la Palestine (thèse défendue par certains hommes politiques israéliens et sionistes au pouvoir !)
Dans le pays présidé aujourd'hui par Macron, il est interdit de réclamer le BDS : boycott des produits issus des territoires palestiniens occupés. C'est une infamie, totalement illégale et les français qui n 'obéissent pas à cette interdiction infamie sont aussi honorables que Mandela et les résistants africains qui luttaient hier contre l'Afrique du Sud des Boers dont la Palestine occupée d'aujourd'hui est devenu hélas, une moderne et regrettable reproduction. (YVAN BALCHOY)
Extrait de Wilkipedia :
"Stricto sensu, les Israéliens ont donc respecté la Résolution 242 à la suite de l'évacuation du Sinaï en 1982. Et d’autre part, le « respect et (la) reconnaissance de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque État de la région et leur droit de vivre en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues à l’abri de menaces ou d’actes de force ». L'Égypte, la Syrie et la Jordanie attaquent malgré tout Israël en 1973 au cours de la guerre du Kippour, mais des accords de paix sont signés avec l'Égypte en 1979 puis avec la Jordanie en 1994.
Selon Meir Shamgar président de la Cour suprême d'Israël, les territoires n'ayant pas été reconnus comme faisant partie intégrante d'un État souverain ne peuvent être considérés comme le territoire d'une Haute Partie contractante (« the territory of a High Contracting Party »)[6]. D'après cet argument, la Ligue des Nations Unies en tant que dernier souverain légal prescrivait les droits légaux du peuple juif à l'ensemble du territoire mandaté, et donc ceux-ci seraient toujours d'effet. Sir Elihu Lauterpacht et d'autres juristes argumentent que dans la situation de vide juridique de souveraineté (« sovereignty vacuum »), laissé par l'abandon du mandat par l'autorité britannique, la souveraineté peut être acquise par un État légitime[7]. Howard Grief insiste sur les droits légaux conférés par les autorités britanniques au peuple juif, dont principalement les accords de San Remo, conférant la souveraineté de jure à l'État d'Israël sur les territoires de la Palestine mandataire[8].
Israël annexa Jérusalem-Est et des territoires alentours pour en faire sa capitale « éternelle et indivisible »." (texte de WIKIPEDIA sur Territoires Palestiniens occupés)
BENNY MORRIS HISTORIEN JUIF EXPLIQUE CLAIREMENT CE QUI FUT UN QUASI GENOCIDE DES PALESTINIENS LORS DE LA NAISSANCE D'ISRAEL. AUJOURD'HUI ENCORE DES EXTREMISTES ISRAELIENS VEULENT SE DÉBARRASSER DE TOUS LES PALESTINIENS VIVANT EN CE GRAND ISRAEL, SOUHAITE PAR EUX, COMPRENANT L'ISRAEL LEGITIME ET LA PALESTINE
LES PAYS OCCIDENTAUX, DONT USA ET LA FRANCE EN SONT ACTIVEMENT OU PASSIVEMENT LEURS COMPLICES (YB)
La nouvelle édition de votre ouvrage The Birth of the Palestinian Refugee Problem, 1947-1949* [La naissance du problème des réfugiés palestiniens] paraît dans un mois. Qui en seront les moins ravis, les Israéliens ou les Palestiniens ?
BENNY MORRIS Cette nouvelle édition est une arme à double tranchant. De nombreux documents, qui n’étaient pas accessibles pendant la rédaction de l’original, essentiellement des archives de Tsahal, montrent qu’il y a eu beaucoup plus de massacres que je ne le croyais. En avril-mai 1948, les unités de l’Haganah [armée juive] ont reçu l’ordre précis d’expulser les villageois [palestiniens] et de détruire leurs maisons. Mais il s’avère que le Haut Comité arabe a de son côté donné l’ordre d’éloigner de certains villages enfants, femmes et vieillards.
Combien de massacres ont été commis par les Israéliens en 1948 ?
Vingt-quatre, dont la moitié dans le cadre de l’opération Hiram [en Galilée]. Divers officiers ont apparemment compris que les expulsions auxquelles il leur était ordonné de procéder les autorisaient à commettre des exécutions arbitraires. Personne n’a été sanctionné, et Ben Gourion a couvert les auteurs.
L’opération Hiram contenait un ordre global et explicite d’expulsion ?
Oui. Le 31 octobre 1948, après une visite de Ben Gourion au QG de Nazareth, le commandant du front nord, Moshe Carmel, ordonnait par écrit d’accélérer le départ de la population arabe. De même, en juillet 1948, Yitzhak Rabin signait l’ordre d’expulsion des habitants de la ville de Lod après une visite de Ben Gourion. Ce dernier comprenait qu’il ne pourrait y avoir d’Etat juif avec une large majorité arabe hostile en son sein. Les viols et les massacres ne souffrent aucune justification. Ce sont des crimes de guerre. Mais, dans certaines circonstances, une expulsion n’est pas un crime de guerre. On ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs et il faut parfois se salir les mains.
Nous parlons de l’assassinat de milliers de personnes et de la destruction d’une société entière.
Une société qui a l’intention de vous tuer vous oblige à la détruire. L’alternative est : détruire ou être détruit. En 1948, l’alternative était : l’épuration ethnique ou le génocide, l’anéantissement de notre peuple. Un Etat juif ne pouvait naître sans le déracinement de 700 000 Palestiniens. Il fallait expulser la population et épurer l’arrière-pays, les zones frontalières et les routes. Le peuple palestinien a subi une terrible tragédie. Mais, si la volonté d’édifier ici un Etat juif était légitime, il était impossible de laisser une cinquième colonne dans le pays. Attaqué par les Palestiniens et ensuite par les pays arabes, le Yishouv [la présence juive en Palestine] n’avait d’autre choix que d’expulser la population palestinienne. Après tout, si le peuple arabe s’est octroyé une bonne partie du globe, ce n’est pas seulement par ses qualités et par ses compétences, mais aussi en conquérant, en assassinant et en forçant les peuples occupés à se convertir.
Les massacres et les exécutions de 1948 ont fait 800 morts, ce qui n’est rien comparé aux massacres de Bosnie. Si l’on tient compte du fait qu’une guerre civile terrible sévissait et que nous avons perdu 1 % de notre population, nous nous sommes même plutôt bien comportés. Mais Ben Gourion a commis une erreur historique en 1948. Il avait beau appréhender l’enjeu démographique, il n’est pas allé au bout des choses. Mon sentiment est que cet endroit serait moins pénible à vivre si l’hypothèque démographique avait été levée une fois pour toutes. Si Ben Gourion avait nettoyé le pays dans son entier, notre Etat aurait été consolidé pour plusieurs générations. Si l’Histoire doit un jour mal finir pour les Juifs, ce sera à cause d’un Ben Gourion qui n’a pas parachevé le transfert en 1948 et a maintenu une réserve démographique [arabe] en Cisjordanie, à Gaza et en Galilée.
Aujourd’hui, plaideriez-vous en faveur d’un transfert ?
Aujourd’hui, non. Ce ne serait ni moral ni réaliste. L’humanité ne nous le permettrait pas, le monde arabe non plus, et cela détruirait la société juive de l’intérieur. Mais, dans des circonstances apocalyptiques susceptibles de survenir d’ici cinq ou dix ans, comme une nouvelle guerre avec les pays arabes, des expulsions seront envisageables, voire inévitables. La “palestinisation” des Arabes israéliens en fait une bombe à retardement, un ennemi intérieur et une cinquième colonne capables de saper l’Etat d’Israël tant en termes démographiques que sécuritaires.
Vous êtes non seulement dur, mais aussi sombre.
Le fait de voter à gauche et même de refuser de servir dans les Territoires ne m’a jamais empêché de douter des intentions réelles des Palestiniens. Arafat veut nous renvoyer en Europe, à la mer d’où nous venons. Il nous voit comme des croisés et nous souhaite la même fin [le royaume chrétien fondé en 1099 par les croisés à Jérusalem fut détruit en 1187 par Saladin]. Au-delà d’Arafat, c’est toute l’élite palestinienne et 30 à 40 % de la société palestinienne qui adhèrent à la théorie des étapes en s’accrochant au droit au retour. Idéologiquement, je soutiens une solution fondée sur deux Etats. Mais, en pratique, nous sommes condamnés à survivre par le glaive.
Votre jugement n’est-il pas trop influencé par trois ans de terrorisme ?
Je comprends la haine des Palestiniens, leur volonté de se venger des bouclages, voire de la création d’Israël. Mais ce n’est pas une explication suffisante. Malgré l’oppression des peuples d’Afrique par les puissances européennes, il n’y a jamais eu de terrorisme africain à Londres, à Paris ou à Bruxelles. Nous-mêmes, malgré l’énormité des crimes allemands, ne faisons pas sauter de bus à Munich et à Nuremberg. Nous affrontons ici quelque chose de profondément ancré dans les cultures arabe et islamique, où la vie humaine n’a pas le même poids et où la liberté, la démocratie, l’ouverture et la créativité sont perçues comme des valeurs étrangères. Dans la culture tribale arabe, la vengeance est une valeur centrale. La société à laquelle nous sommes confrontés n’a aucune inhibition morale. Si elle parvient à se doter d’armes chimiques, biologiques ou atomiques, elle en fera usage et, si elle le peut, elle commettra un génocide.
Nous sommes responsables pour une large part de la haine des Palestiniens. Vous reconnaissez vous-même que les Palestiniens ont subi une catastrophe historique.
Qui sont les tueurs en série ?
Les barbares qui en veulent à notre vie. Les gens que la société palestinienne envoie commettre des attentats et, dans une certaine mesure, la société palestinienne elle-même, une société malade qui doit être traitée comme le sont les tueurs en série. Nous devons essayer de soigner les Palestiniens. La création d’un Etat palestinien fait peut-être partie du traitement. Mais, dans l’attente de la panacée, il faut les emmurer et les empêcher de nous tuer. Il y a là une bête sauvage qui doit être mise en cage. Ben Gourion voyait juste quand il disait que seule la force convaincrait les Arabes d’accepter notre présence ici. La diplomatie est nécessaire pour rassurer l’Occident et notre propre conscience, mais seule notre force persuadera les Arabes de reconnaître qu’ils ne peuvent nous vaincre.
Vous adhérez à la théorie du choc des civilisations ?
Les valeurs du monde arabe sont aujourd’hui celles de barbares. L’Occident est encore le plus fort, mais l’implantation massive de musulmans en son sein est une menace. L’Empire romain a laissé les Barbares s’installer en son sein et s’est effondré de l’intérieur. Comme les croisés, nous, Israéliens, sommes une branche vulnérable de l’Europe dans cette région.
Votre vision n’est-elle pas trop apocalyptique ?
C’est tout le projet sioniste qui est apocalyptique. Sa réussite est presque insensée. Une apocalypse nucléaire est possible d’ici vingt ans.
Si le sionisme se révèle si dangereux pour les Juifs, peut-être fut-il une erreur ?
Non. La fondation d’un Etat juif dans ce pays était légitime. Mais, vu la spécificité de l’islam et du peuple arabe, ce fut une erreur de croire qu’un Etat juif pourrait vivre en harmonie avec son environnement.
Il ne nous reste alors que deux issues : la cruauté ou l’abandon du sionisme.Votre vision de l’Histoire n’est-elle pas inhumaine ?
Si. Mais ce n’est pas l’affaire des Palestiniens ; c’est celle d’un peuple juif qui a souffert pendant deux mille ans, survécu à la Shoah et récupéré son héritage dans le sang, sans pour autant être à l’abri d’un prochain anéantissement. C’est bien plus tragique que ce qui est arrivé à cette petite partie de la nation arabe qui résidait alors en Palestine. Nous avons beau opprimer les Palestiniens, nous restons la victime en puissance. Nous sommes une minorité isolée dans un océan d’Arabes qui ne songent qu’à nous anéantir. Lorsque leur désir deviendra réalité, vous comprendrez ce que je dis aujourd’hui, mais il sera trop tard.
* Ed. Cambridge University Press, 1988.
Ari Shavit
https://www.courrierinternational.com/article/2004/01/15/ben-gourion-aurait-du-expulser-tous-les-arabes