Extrait de Wilkipedia :

"Stricto sensu, les Israéliens ont donc respecté la Résolution 242 à la suite de l'évacuation du Sinaï en 1982. Et d’autre part, le « respect et (la) reconnaissance de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque État de la région et leur droit de vivre en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues à l’abri de menaces ou d’actes de force ». L'Égypte, la Syrie et la Jordanie attaquent malgré tout Israël en 1973 au cours de la guerre du Kippour, mais des accords de paix sont signés avec l'Égypte en 1979 puis avec la Jordanie en 1994.

Selon Meir Shamgar président de la Cour suprême d'Israël, les territoires n'ayant pas été reconnus comme faisant partie intégrante d'un État souverain ne peuvent être considérés comme le territoire d'une Haute Partie contractante (« the territory of a High Contracting Party »)[6]. D'après cet argument, la Ligue des Nations Unies en tant que dernier souverain légal prescrivait les droits légaux du peuple juif à l'ensemble du territoire mandaté, et donc ceux-ci seraient toujours d'effet. Sir Elihu Lauterpacht et d'autres juristes argumentent que dans la situation de vide juridique de souveraineté (« sovereignty vacuum »), laissé par l'abandon du mandat par l'autorité britannique, la souveraineté peut être acquise par un État légitime[7]. Howard Grief insiste sur les droits légaux conférés par les autorités britanniques au peuple juif, dont principalement les accords de San Remo, conférant la souveraineté de jure à l'État d'Israël sur les territoires de la Palestine mandataire[8].

Israël annexa Jérusalem-Est et des territoires alentours pour en faire sa capitale « éternelle et indivisible »." (texte de WIKIPEDIA sur Territoires Palestiniens occupés)