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Publié par YVAN BALCHOY

Hier soir sur LCI-PUJADAS, discussion animée à propos du projet sulfureux de traquer les migrants réfugiés ou non jusque dans les centre d'aide urgente où ils se réfugient parfois pour échapper semble-t-il à des intimidations illégales, inhumaines même de certains policiers qui vont jusqu'à gazer leur nourriture ou empêcher des organismes de secours de les nourrir.

Une militante d'en  marche, très bien disposée vis à vis des réfugiés et beaucoup moins pour ne pas dire pas du tout vis à vis des migrants a monopolisé une grande partie de l'émission. Elle accepte simplement un traitement humain lors du processus d'expulsion sacralisé mais elle ne répond pas aux questions graves posées parfois ,à Calais par exemple, par le comportement de certains policiers.

D'ailleurs quelle différence entre un réfugié syrien, officiellement ? sûr de rester en France, et un africain, ayant risqué sa vie et elle de sa famille, peut-être décimée et noyée sinon des arguties d'un droit que j'aurais voulu appliquer quand les pays occidentaux, il n'y a pas si longtemps, envahissaient des pays d'Afrique au mépris de tout droit et n'hésitaient pas , au Congo par exemple, à couper les mains des Congolais refusant de traiter le caoutchouc au bénéfice du roi des >Belges, propriétaire à titre personnel d’une contrée 81 fois plus grande que le pays colonial.

Je pense pour ma part, que la terre apparient d'abord de manière indivisible à l’ensemble de l’humanité quand un homme doit choisir entre la vie et la mort il a le droit DE NATURE ou DIVIN, selon vos convections d'aller s'installer dans un autre pays où il pourra vivre.

Bien entendu , le droit de choisir l'endroit où on vit n,est possible qu'en cas de grave nécessité comme la vie et la mort (possibilité d’être opéré dans un pays alors que là où on vit, la mort est assurée.

Entre le réfugié qui fuit la guerre et la famille d'un pays sans guerre qui fuit une famine meurtrière seule la mauvaise foi fait une  distinction, c'est ce que je reproche à cette militante d'en marche, n’arrêtant pas de défendre avec fougue comme Macrons les vrais réfugiés pour mieux renvoyer les migrants sans grand état d'âme quelles que soient les raisons de leur exil.

Il s'agit en cooccurrence de la France qui, selon des statistiques sûres est un des pays les moins accueillants, numériquement parlant en tout cas de l'Europe, avec Madame le Pen, vraie abrutie du non accueil, qui n'est qu'une raciste sans envergure  qui n'a que le poids que les couards de la politique lui donnent par peur.

Au delà de cette militante de Macron aussi équivoque que son patron, se moquant des intellectuels, prix Nobel, évêques et humanistes s'appuie sur les sondages faussés du peuple sondé, une goutte d'eau de la mer qui, affirment-ils, dit tout d l'ensemble pour des études payées par des gens intéressés à voir confortée leurs opinions.

Il est temps que j'en vienne à Guillaume Roquette qui, au nom de l'infâme Figaro (ce n'est que mon opinion vieux de plus de 30 an) journal bien écrit au point que je l'achète trop souvent,

qui avec une mauvaise foi évidente , selon ma libre opinion encore, défend les voleurs millionnaires ou milliardaires qui ont empoché le plus gros de la richesses en payant avec des clopinettes ceux qui travaillent pour eux qui empochent le gros lot; Ainsi en Belgique 33 % de la richesse nationale est détenu par 6 ou 7 % de la population; In vrai hold up.

Ce n'est sûrement pas l'avis du sieur Roquette pour qui la fortune sourit aux plus méritants aux plus travailleurs et qui a peur des migrants qui risque d'amoindrir notre vie tandis qu'il loue les succès de fortunés d'ici ou d'ailleurs qui jouissent d'une aisance que ne méritent pas certes les pauvres migrants ou non.

J'ai beaucoup plus apprécié son opposant t Matthieu Croissance beaucoup plus équilibré et juste dans son estimation du malheur des migrants.

Je pense que seule une analyse cas par cas, animée par une générosité raisonnée du partage, pourra disyinguer ceux qui réfugiés ou migrants quittent malheureux leur pays pour trouver un mieux hypothétique ailleurs.

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