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Publié par YVAN BALCHOY

UNE CONFERENCE A, PARAIT-IL 400 000 EUROS ! PAUVRE OBAMA QUI N'A PAS LES MOYENS POUR SUBSISTER SANS EN UN SENS SE PROSTITUER MORALEMENT (Y.B.)

C'est vrai qu'il n'est pas le seul à se faire payer une fortune pour un "travail" d'une heure et demi maximum.  D'autres ex-chefs d'Etat demandent même plus encore tel CLINTON ou un peu moins, voire sensiblement moins comme l'ex-président de la France.

Quand on connaît les nombreux et souvent non justifiés privilèges de ces "éminences" qui souvent n'ont pas accompli la moitié du quart de leurs promesses, on est en droit de s'indigner surtout quand on met en face de  ces  "extorsions" de fond, les revenus auxquels sont assujettis nombre de leurs citoyens qui, travaillant parfois bien plus que ces nababs, reçoivent comme rétribution moins de mille dollars par mois.

Vous me direz que monsieur Hollande, au moins, affirme que sa célèbre fondation recevra une partie du prix de ses conférences (quelle partie ?)

Certes, Monsieur Obama, prétend peut-être un peu vite, à considérer le résultat des dernières élections présidentielles aux USA, avoir laissé une économie favorable (pour les plus riches sans doute mais pour les pauvres américains ?)

Je me rappelle simplement la promesse que j'avais reçu d'Obama à propos de la guerre judéo-Palestinienne et le peu, le très peu de résultats qu'a amenés sa Présidence en e domaine.. Promesse manifestement non tenue !

En revanche, j'en veux au premier président "de couleur" américain d'avoir comme certains de ses prédécesseurs fait assassiner sans jugement (il n'y a pas d'autres mots) des dizaines de citoyens du Moyen Orient, censés à juste ou faux titre être des terroristes, parfois simplement hostiles comme patriotes aux armées US,  plus tous les autres victimes de bavures intentionnelles ou non de l'armée des USA. Ils  sont le plus triste héritage de la présidence OBAMA.

Je propose qu'au titre de réparation pour ces actes illicites, puisque non couverts par le pouvoir judiiaire, les revenus faramineux obtenus au titres de ces onférfenes, souvent sans grand intéret, sloient onsarées  à la compensation des familles de ces victimes.

Qu'en pensez-vous, Monsieur Obama ?

 

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