AVEC VALERIE DE BUE MEMBRE DU GOUVERNEMENT RENEGAT DE WALLONIE (APRES CELUI DU FEDERAL) L'ANTI-LEGALITE DE BEAUCOUP DE BOURGMESTRES MR CONCERNANT LES 10 % D'HABITATION SOCIALE EST REMISE EN QUESTION PAR CE PARTI HERITIER LOINRAIN AVEC LE CDH DES FUSILLADES ANTI-OUVRIERES DE LA FIN DU DIX NEUVIEME SIECLE (YB)
Il y a peu , je ne sais plus sur quel media radio ou Tv, Madame De Bue, ministresse MR a confirmé, malgré le manque évident d'habitations sociales en Wallonie due en partie à l'incivilité de son parti qui refusait que la loi des 10 % des habitations sociales s'applique aux communes les plus riches et potentiellement les plus capables de l'obtenir, l'abandon effectif tout au moins de cette nécessité des 10 % (déjà non respectée par beaucoup de ces élus) car pour le MR, parti qui au fédérai a trahi et continue à trahir la Belgique, il devient possible grâce au renégat bourgmestre de Bastogne, d'appliquer la loi de" l'argent roi" à toute la Wallonie.
Monsieur Charles Michel qui se ventait dans une brochure trouvée chez ma coiffeuse de pouvoir admirer des biches traversant son "modeste" jardin privé (comme peuvent le faire, c'est clair tous les ouvriers wallons)n'a évidemment que faire comme Mr Borsus et madame De Bue de la possibilité des modestes wallons d'accéder dans de bonnes conditions à la propriété sociale. (qui nuit dangereusement sans doute à la propriété privée)
Le Mr n'a pas encore compris que nous ne sommes plus au XIX ème sicèe, en ce temps où pour les patrons "LIBERAUX" (c'est à dire accaparant la liberté à leur seul profit) n'acceptaient aucune union entre les ouvriers au point de faire tuer par la gendarmerie les premiers qui se syndicalisaient pour se libérer de l'oppression des bourgeois.
Madame De Bue, à votre place, je serais gênée de limiter comme votre Parti, n'a jamais cessé de le faire, la liberté des plus faibles. J'espère qu'un jour vous serez punis pénalement de votre avidité sociale et des conditions de vie que vous imposez à ceux qui n'ont pas pour devise : "L'argent avant les gens"
Honte à vous, Madame !
Yvan Balchoy