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LE GOUVERNEMENT FRANCAIS PREPARE DES MESURES QUI EN BANALISANT L'ETAT D'URGENCE MENACE LES LIBERTES DES FRANCAIS
Ces inquiétantes nouvelles nous sont parvenues par le MONDE qui le détaille tout en affirmant qu'elles vont être soumises au Conseil d' D'Etat et sont encore susceptibles d'être modifiées.
De la part de Monsieur Valls, binational, de naissance en tout cas, avec l'Espagne et de cœur, je pense avec les juifs même sionistes, je n'ai aucune confiance pour la sauvegarde de la liberté des français.
Voilà donc qu'il entend dépouiller une fois de plus l'autorité de la justice, qui a comme défaut principal qu'elle est indépendante, ce qui est intolérable pour un candidat futur à la Présidence de la République, au tempérament foncièrement de droit, plus proche aussi du P.P. espagnol que des vraies valeurs de gauche auxquelles il ne comprend rien.
Si on laisse faire ce dangereux homme politique, la police dirigée par le préfet ou le procureur, en d'autres termes par l'exécutif pourrait, si la mesure passe, pour motif de terrorisme et actes assimilés et on a vu récemment, les dangereuses et scandaleuses dérives de l'Etat d'exception utilisées contre les écologiste , la police pourrait sans aucun recours judiciaire, sans avoir à justifier son action, fouiller mon véhicule en me gardant jusqu'à quatre heures, perquisitionner chez moi, en faisant sauter dangereusement, si j'ai des enfants, des serrures à coup de poudre ou pire, tout mettant en désordre tout mon intérieur et si finalement ne trouvent rien s'en aller, le plus souvent sans excuses.
Un citoyen ainsi, pourrait parce que, par exemple, un article écrit sur Internet ne lui plairait pas, m'assigner à résidence durant de longues semaines sans devoir en expliquer les raisons, tout en me rendant quasi impossible l'intervention d'un juge pour me libérer d'une mesure peut-être arbitraire.
Enfin le pire, par la modification des conditions et autorisations pour tirer sur un malfaiteur qui chercherait à fuir
Ici encore, il serait sans doute question de terrorisme mais la police, téléguidée peut-être par ses supérieurs, pourrait rapidement étendre à d'autres malversations cette faculté de tuer, nouvelle forme de la peine de mort, qu'Israël par exemple si cher à Valls, utilise non contre ses propres citoyens mais vis à vis des résistants palestiniens auxquels comme les boches le faisaient chez nous il ne laisse aucune chance le plus souvent en les "neutralisant", joli mot pour ne pas dire tuer ou assassiner.
Certes un policier directement menacé de mort, a le droit et le devoir de se défendre.
En revanche, la fuite d'un voleur, d'un individu qu'il sait non armé, ne rend absolument pas légitime, en vertu des droits de l'homme supérieurs à la constitution français, déjà partiellement défigurée par Valls, la mise à mort même d'un criminel.
Et qu'on ne me dise pas que la préservation d'un bien matériel, si grand soit-il, rend licite l'usage d'une arme à feu pour tuer.
Ce serait la destruction de la sans doute plus belle réforme du Président Mitterrand, la suppression de la peine de mort.
Ce qui s'est passé à propos des mise en résidence de citoyens écologiques, en vertu d'une décision n'ayant rien à voir avec le terrorisme, nourrit ma crainte que ces mesures rendant presqu'inutile l'Etat d'urgence, pourtant constitutionnalisé, puisqu'il deviendrait habituel et ordinaire, y compris, soyons-en sûr, dans ses extensions irrégulières.
Pour qu'une pareille réforme devienne vraiment respectueuse du droit français il faudrait que le Procureur de la république devienne vraiment indépendant du gouvernement même en cas de décision d'un préfet.
Le magistrat pourrait ainsi dans l'urgence, si nécessaire, être annulée par ce magistrat indépendant.
Mais je ne crois pas que Monsieur Hollande et ce cheval de Troie de la Droite qu'est hélas monsieur Valls n'accepteront ce respect du pouvoir judiciaire, sans lequel pourtant la France ne serait plus une démocratie.
Par ailleurs, le remplacement de la perte de nationalité, si impossible à bien réaliser, ne pourrait-elle pas être remplacée par une peine "d'indignité nationale" qui pourrait en avoir les mêmes effets et toucherait tous les terroristes, français uni nationaux, binationaux et étrangers.
Français, ne vous laissez pas faire, ne permettez pas à un pouvoir se voulant chaque jour plus autoritaire, vous dépouiller de parcelles de votre liberté, sans quoi un jour vous vous retrouverez prisonniers d'un état policier.
Yvan Balchoy
UN HOMME ABATTU,
C'EST TOUJOURS UN DRAME REGRETTABLE !
Ami(e) lect(eur)rice, si je reprends cet article, trois jours à peine après l'avoir écrit, parce que j'ai peur, sans en être sûr, que ce que je craignais ne se soit réalisé si vite sous le signe de cette nouvelle politique ultra sécuritaire de VALLS & Cie.
Je reprends ici un texte trouvé sur Facebook et signé par, un certain Armand si je me souviens bien, car en deux minutes je n'ai pu retrouver le nom de l'auteur de ce mot matinal, avec lequel je suis pour l'essentiel d'accord.
Tuer, non, c'est vrai, on dit "neutraliser", même quand on pourrait appréhender ou même blesser, comme hélas le font parfois face à un agresseur Palestinien, certains soldats israéliens, si proches parfois du gouvernement français actuel qui y voit un exemple à suivre de Sécurité nationale ; à mes yeux, ça reste cependant aussi un crime.
Cela dit , je pense que cet homme, n'a sans doute pas tellement voulu tuer réellement des policiers que se faire tuer, en assimilant ce geste à un martyre cette fois seulement suicidaire. Bien sûr cet article, comme le mot d'Armand, reste sous le signe d'un ?
J'aurais été heureux que les nombreux policiers présents eussent réussi à lui sauver la vie pour leur prouver leur humanité face à son idéologie immonde.
Certes les policiers ont le droit et même le devoir je le répète de préserver leur vie mais pas au risque de tuer un innocent. Si chaque fois qu'un policier en voyant s'avancer un homme vers lui avec colère croit avoir le droit de sortir son arme, alors qu'il change de métier !